À scruter de près : le nouveau partenariat entre Mistral AI et CMA CGM va conduire à l'automatisation de la vérification dans les médias du groupe. Une question se pose : l'intérêt économique du groupe va-t-il dicter sa vision du vrai et du faux ? CMA CGM, c'est : RMC BFM. La Provence. Corse-Matin. La Tribune. 10% du capital du GROUPE M6. Une participation au capital de Brut. La pratique du journalisme du groupe possède donc une influence notable sur la radio, la télévision et la presse quotidienne régionale française. Dans le cadre du nouveau partenariat conclue avec Mistral AI, un "AI Media Lab" basé à Marseille développera des outils d'édition et de vérification automatisée. La "vérification" n'est pas une pratique anodine. Elle signifie qu'un objectif est déterminé (se fonder sur l'état des connaissances scientifiques, par exemple) et traduit en modèles d'analyse du langage. Or, les pratiques éditoriales des médias du groupe ne semblent pas considérer que l'état des connaissances scientifiques sur l'évolution du climat relèvent d'un fait, mais d'une opinion, librement discutable. Qu'il suffise de citer cette récente tribune de La Tribune, donnant la parole à un climato-négationniste proposant d'arrêter de financer la décarbonation : https://lnkd.in/enMJ5WWE Par ailleurs, la représentation d'intérêts économiques est fréquemment assimilée à de l'expertise. En témoigne cette invitation du représentant du club des automobilistes, seul en plateau, pour évoquer la végétalisation de Paris : https://lnkd.in/egsJEP-B Doter un groupe média d'outils éditoriaux et de vérification de faits ouvre la voie à l'interprétation, par des acteurs économiques, de ce qui relève du factuel. À ce que cette interprétation soit intéressée. Une interprétation qui se diffuse ensuite dans des contenus d'information consommés par des millions de Français. Il convient donc de scruter de très près les critères qui seront utilisés. Pour cela, leur transparence s'impose. Autrement, nous sommes vulnérables à des tentatives d'influence de grande envergure. Article de Maddyness : https://lnkd.in/d6AtJD43
QuotaClimat ⏱
Organisations à but non lucratif
L'association QuotaClimat oeuvre pour un meilleur traitement médiatique des enjeux écologiques
À propos
Les effets du dérèglement climatique sont désormais tangibles et, pour beaucoup, irréversibles. Pourtant, l’indifférence règne. L’association Quota Climat oeuvre, avec les journalistes et la société civile, pour un meilleur traitement médiatique des enjeux écologiques. Ensemble faisons entrer l'urgence écologique dans l'agenda médiatique !
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- Secteur
- Organisations à but non lucratif
- Taille de l’entreprise
- 2-10 employés
- Siège social
- Paris
- Type
- Non lucratif
- Fondée en
- 2022
Lieux
-
Principal
Paris, FR
Employés chez QuotaClimat ⏱
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Céline Puff Ardichvili ⏲️
DG & Partner Look Sharp #PR #communication #sustainability. Co-author Contributive Company: Reconciling the corporate world with planetary boundaries…
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Nicolas Montanard 🦊 🛶
Métier de Médiateur Pair en Santé Mentale Communautaire (Unité Mobile de crise psychique ULICE APHM & Siège d’EsperPro) 🏥 ; Vie avec le Trouble…
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Tanneguy Hoüitte de la Chesnais
Né à 316 ppm, Ralentir pour vivre heureux, Retraité, ancien délégué régional de l'enseignement agricole privé CNEAP.
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Loïc Nguyen 👨🌾
Maitre d œuvre et paysan engagé - LN-ECO et La Ferme du Temps Long
Nouvelles
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Saisissant : le procédé journalistique de l'avant/après, appliqué à l'érosion. En 4 ans, une habitante passe de « J'ai encore 25 ans devant moi » à « J'ai déménagé dans la précipitation, j'avais trop peur ». France Télévisions s'est rendu, à plusieurs années d'intervalle, à Happisburgh (comté de Norfolk, Angleterre). La rédaction a interrogé la même habitante au sujet de sa maison, exposée au recul du trait de côte. Il y a un réel contraste entre le relativisme de 2021 et le fatalisme de 2024. Ce contraste est également rendu visible par les images aériennes : la maison passe de la deuxième ligne de front de mer en 1999 à 10 mètres au bord de la côte aujourd'hui. Ce grand format, diffusé hier soir au JT de France 2, ne se contente pas d'observer la menace. Il évoque aussi ses conséquences : parce qu'une route s'est effondrée, les habitants sont désormais privés de distribution du courrier. Du ramassage des ordures. Ils réclament une action rapide des pouvoirs publics. Or, ces derniers agissent proportionnellement à la valeur des biens immobiliers, le risque d'érosion côtière n'étant pas couvert par les compagnies d'assurance. Puisque les biens en question sont relativement modestes, rien n'est fait. Le sentiment qui prédomine est l'injustice. Et ce n'est que le début : 100 000 maisons sont exposées d'ici 50 ans. Vertigineux. JT du 06 avril 2025, reportage signé Ambroise Bouleis et Léna Soudre : https://lnkd.in/eJRp4jtc
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Nous lançons « Road to COP30 » : une série de webinaires sur le tournant qu'est la COP cette année en matière d'intégrité de l'information climatique et de lutte contre la désinformation. Fin 2024, lors du G20, le gouvernement brésilien, les United Nations et l'UNESCO ont lancé l'initiative globale pour l'intégrité de l'information sur le changement climatique. Une initiative qui reconnaît, pour la première fois, l'importance de promouvoir le droit à l'information au sein des négociations climatiques internationales. À quelques mois de la COP de Belém (Brésil), il est temps de comprendre quels sont les décideurs impliqués, ce qu'ils envisagent de mettre en place, et comment la société civile peut les appuyer. Notre premier invité est donc l'euro-député Pascal Canfin ! Ancien président de la commission Environnement du European Parliament, il est bien placé pour connaître : - les stratégies des désinformateurs - la régulation européenne - les pistes pour aller de l'avant Pour l'écouter et lui poser vos questions, c'est vendredi 11 avril à 12h, sur Linkedin. See you there! (PS : taguez les personnalités que vous souhaiteriez voir intervenir dans le prochain webinaire !)
Road to COP30 - L'Union européenne et la désinformation climatique
www.linkedin.com
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L’interview de Marine Le Pen par Gilles Bouleau est une masterclass de contradictoire journalistique. C’est la preuve que, même sur des sujets complexes, en direct, les journalistes peuvent ne laisser passer aucune ineptie. Il « suffit » pour cela de : 1) Considérer l’inexactitude factuelle comme dangereuse. Ici, Marine Le Pen affirme qu’une décision judiciaire va à l’encontre de l’état de droit. C’est une affirmation retentissante si elle s’avérait vraie : le journaliste estime donc impensable de laisser dire. 2) Anticiper les arguments, pour répondre avec technicité. Ce qui facilite la tâche des journalistes, c’est que la stratégie des désinformateurs récurrents est la répétition. Le martelage. Gilles Bouleau n’arrive pas les mains vides : on constate une pile de fiches devant lui. Signe qu’il sera cette fois difficile de le prendre de court. Les journalistes politiques ont un rôle central en démocratie, car ils sont des rouages de la stratégie réputationnelle des dirigeants. Leur laisser-faire devient connivence. Au contraire, leur vivacité permet le rapport de force. Si ce rapport de force peut être exercé sur un sujet aussi complexe qu’une décision de justice, nul doute qu’il puisse s’appliquer aux enjeux scientifiques, climatiques, sanitaires. C’est une affaire de perception du danger, et de volonté.
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Breaking news : nous déployons l'Observatoire des médias sur l'écologie en Belgique francophone en partenariat avec le CSA - Conseil supérieur de l'audiovisuel belge 😍 Après avoir œuvré au déploiement de l’Observatoire des médias sur l’écologie (https://lnkd.in/eT2P_Qqz), aux côtés d’un consortium de partenaires composé des associations ClimatMédias, Data for Good, Expertises Climat, des entreprises eleven strategy et Mediatree et avec le soutien financier et méthodologique de l’ADEME et l’Arcom, nous sommes très heureux d’annoncer notre nouveau partenariat avec le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel Belge pour déployer l’Observatoire des médias sur l’écologie en Belgique francophone ! Cette annonce fait suite au travail de rayonnement, aux niveaux européen et international, des actions menées par QuotaClimat depuis 2022 pour améliorer le traitement médiatique des enjeux écologiques. La disponibilité de données quantifiant et qualifiant la couverture médiatique des enjeux écologiques dans l’audiovisuel français produit déjà des résultats en matière de sensibilisation des entreprises audiovisuelles. Ces observations permettent aussi de sensibiliser le législateur et le régulateur sur l’évolution du cadre de régulation des médias français, et les incitations à déployer pour davantage couvrir ces enjeux, en quantité et en transversalité. Cette production de données existe de manière sporadique dans diverses régions du monde (l’organisation KLIMA° vor acht e.V. y travaille en Allemagne, Media Matters for America aux États-Unis, etc.), sans pour autant être reconnue officiellement par les autorités indépendantes de régulation ni par les médias observés. Cette donnée ne dispose pas non plus d’accès public en live. C’est précisément ce à quoi nous nous attelons avec le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Cet essaimage est par ailleurs rendu possible via la construction de l’Observatoire des médias sur l’écologie en open source, sous forme de commun numérique, dont les développements et la méthodologie sont ainsi facilement réplicables. On continue 💚
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De pire en pire : La Tribune vient de publier la tribune d'un climato-dénialiste, qui affirme qu'il faut arrêter de décarboner en Europe pour financer la politique de défense. En choisissant comme titre "Brasser du vent ou défendre l'Europe". Comme si les deux s'opposaient. Quelques citations parlantes : - "le GIEC fait déclarer hérétiques" ceux qui contestent l'importance de la décarbonation - il existe un "rôle dominant de la vapeur d'eau dans la régulation des températures" - à propos des climato-dénialistes : "Rejetons ces hérétiques dans les ténèbres extérieures, puisqu'on ne peut les mettre au bûcher, où ils dégageraient exprès du CO2" (oui oui) - "Il faut, pendant une bonne dizaine d'années, mettre bas celles des armes dirigées contre le gaz carbonique qui sont inutiles et dommageables, pour construire plus rapidement les armes nécessaires à notre survie et à celle de l'Europe, et étoffer nos armées." Publier cette tribune est un choix éditorial assumé. C'est un choix ouvertement clivant, polarisant, anti-science, anti-climat. Et même anti-défense (ironiquement), lorsqu'on sait à quel point la dépendance aux énergies fossiles menace notre souveraineté européenne. À Lucie Robequain, directrice des rédactions : étant donnés ces attributs, cette tribune vous semble-t-elle vraiment informer de manière qualitative votre audience ? À lire ici : https://lnkd.in/gbJ9xBKN
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Préoccupant : le SEUL master "climat et médias" de France est menacé de disparition. À l'heure où nous avons le plus besoin de journalistes formés aux enjeux environnementaux. Co-piloté par l’UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et l’Ecole supérieure de journalisme de Lille, ce master 2 permet de former de futurs journalistes aux bases de la science du climat. Cette formation est une réponse à un besoin évident de la profession, pour davantage et mieux couvrir les enjeux environnementaux. Le besoin est ressenti : le nombre d'étudiants a été multiplié par cinq en huit ans. Le besoin est aussi objectivé : la couverture médiatique des enjeux écologiques est en chute nette depuis près de 2 ans, d'après l'Observatoire des médias sur l'écologie (https://lnkd.in/eT2P_Qqz). Seuls 2,3% du temps d'antenne leur était consacré en mars. Et les résultats sont tangibles : la formation a vu passer des journalistes désormais réputés, comme Anne Le Gall du billet sciences sur Franceinfo, Thomas Baïetto, journaliste au JT de France 2, Elise Menand d’Envoyé Spécial. Pourtant, l'UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines refuse de renouveler sa convention de partenariat. Elle serait en cours d'examen pour procéder à "des ajustements nécessaires d’ici la rentrée universitaire 2025". Ces ajustements ne doivent pas se traduire par une moindre ambition de la formation. Elle revêt un caractère pionnier, qu'il est urgent de répliquer. Pas de supprimer, ni de tronquer. À Loïc Josseran, président de l'Université : soutenir le journalisme environnemental est d'intérêt public. Votre mobilisation pour la préservation et le déploiement de cette formation est fortement attendue. Alors que les menaces sur l'intégrité de l'information se multiplient et pèsent particulièrement sur le sujet climat, très exposé : les journalistes environnementaux sont en première ligne. Ils ont besoin de ressources, et nous avons besoin d'eux. Article de Reporterre 🌍 | Le média de l'écologie : https://lnkd.in/eWSn9nNW
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🙌 L'intérêt politique pour la désinformation climatique grandit : nous étions à Bruxelles pour sensibiliser 100 fonctionnaires européens au nom de la Climate Action Against Disinformation ! Partout en Europe, la menace explose. Selon l'European Digital Media Observatory, la désinformation climatique représentait 13% de la désinformation en ligne en décembre 2024. Ceci, dans un contexte où l'information environnementale décroit (-30% par rapport à 2023 en France selon l’Observatoire des médias sur l’écologie), et se polarise. C'est pourquoi, à l'initiative de la direction générale du Climat de la European Commission, nous avons participé à une session d'information sur le sujet. À cette occasion, nous avons rappelé que : - La "physionomie" de la désinformation climatique évolue : les attaques à l'encontre des solutions à la crise (ZFE, énergies renouvelables,...), et les défenseurs de l'environnement gagnent du terrain - alimentées par un fond de climato-scepticisme décomplexé. - Ces campagnes de désinformation visent à 1) nourrir la division 2) ralentir la transition - en érodant la confiance des citoyens envers les institutions démocratiques et les contre-pouvoirs. - Elles exploitent tout l'écosystème informationnel, c'est à dire les réseaux sociaux, les modèles de language (IA), et enfin, les médias grand public - où la désinformation climatique est rendue acceptable, entendable, rationnelle. - La lutte contre la désinformation climatique se hisse comme priorité politique à l’agenda du Commissaire Wopke Hoekstra mais ne doit pas rester au stade de la bonne volonté. Elle doit se transformer en plan d’actions, et être reconnue avec une mention spécifique dans le DSA et la directive SMA. - La désinformation est une manière de faire la guerre à moindre coût, notamment déployée par les acteurs étatiques hostiles (comme la Chine et la Russie) et les acteurs de l'industrie fossile. - Sans action coordonnée, les conséquences se feront en cascade : affaiblissement des politiques environnementales, report des stratégies d'adaptation, augmentation de la dépense publique pour absorber les coûts des événements climatiques extrêmes et les impacts sur la santé publique, compétitivité industrielle ralentie, sécurité énergétique menacée. - Nous proposons donc une stratégie à double facette : 1) lutter contre la désinformation 2) tout en protégeant l'accès à une information indépendante et pluraliste - selon l'Eurobaromètre, la télévision reste la source d'information dans laquelle les européens ont le plus confiance - il faut qu'elle le reste. Si l'intérêt des institutions européennes grandit (c'est une bonne nouvelle), sa réponse devra être à la hauteur (et donc rapide). Car la menace n'attend pas et se déploie. Nous continuons notre travail de plaidoyer à l'échelle européenne, pour documenter, alerter, et protéger. Thanks to DG CLIMA for the invitation!
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😍 Nous sommes très heureux de vous annoncer que QuotaClimat recrute un chargé de plaidoyer international, dédié à la préparation de la COP30 ! Cette année est un tournant dans la défense de l'intégrité de l'information sur le changement climatique. L'Union européenne se mobilise. Les Nations unies se mobilisent. La présidence brésilienne de la COP30 se mobilise. Et heureusement : le défi est de taille. Jamais l'information ne s'est trouvée aussi instrumentalisée et menacée. Tout comme les crises environnementales : l'urgence gronde. Nous avons de grands projets pour être à la hauteur de ce momentum politique. Nous recrutons donc une nouvelle pépite, pour rejoindre une équipe à la détermination sans faille ! Toutes les informations sur cette ouverture de poste sont disponibles ici : https://lnkd.in/eDpN8YEa À vos candidatures !
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Du journalisme qui réconcilie au lieu de cliver. Alors que le débat autour des ZFE se polarise, Ouest-France adopte une démarche à contre-courant : réconcilier les points de vue en partant d’une priorité consensuelle - la santé publique. Cet article est une respiration dans une campagne médiatique ouvertement partisane, conçue pour créer des camps, diviser, en faisant de « l’écologie » au sens large une ligne de rupture, plutôt que de parler des enjeux et des réponses disponibles (comme ici chez Le Figaro : https://lnkd.in/gunzQwuS ; ici chez CNEWS : https://lnkd.in/gqXuEXGX ; ou encore ici chez France Télévisions : https://lnkd.in/gVUfKneQ). Les ZFE sont apparues en 2019 pour restreindre fortement la circulation des véhicules jugés les plus polluants, dans les villes de plus de 150 000 habitants. Pourtant, à l'occasion du projet de loi de simplification, les députés ont votés mercredi en commission pour l’interdiction pure et simple des ZFE. Dans ce numéro, Ouest-France leur donne la parole. Les ZFE seraient une double peine, à la fois sociale (pour les plus précaires) et administrative (pour les municipalités). Mais pas que. Loin des débats polémisants, Ouest-France rappellent aussi les enjeux de santé publique derrière ce dispositif : - Les particules fines (issues de l'échappement, de l'usure des chaussées, des pneus) sont classées comme cancérigènes. - La pollution de l'air est responsable de 48 000 décès précoces et 30 000 enfants asthmatiques par an. On comprend les co-bénéfices sociaux et sanitaires : - Une réduction des polluants aux seuils préconisé par l'OMS permettrait d'éviter 40 000 décès par an en France. - Et surtout, que les ZFE sont appliquées ailleurs, et qu'elles fonctionnent : à Madrid, après l'instauration d'une ZFE, on constate une baisse de concentration des polluants atmosphériques de 23 a 34%. Selon l'OECD-OCDE, les mesures de transition écologiques doivent être perçues comme 1) efficaces 2) équitables pour être acceptées. Alors oui, exposer les contraintes locales et le manque d'alternatives financières est une condition sine qua none pour améliorer le dispositif. Mettre en lumière les conséquences sanitaires, avec des effets disproportionnés sur les publics les plus précaires, en fait également partie. Ni les citoyens ni les décideurs politiques ne peuvent pas se passer d'une telle information pour décider avec responsabilité. Article signé Yves-Marie ROBIN : https://lnkd.in/g5DNzuUW
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