Post de SCIC Nourrir l'Avenir

Demain commence le SOMMET DE L’ÉLEVAGE, rendez-vous incontournable des filières de productions animales. Nous sommes fiers d’y participer depuis maintenant 5 ans et d’avoir obtenu la reconnaissance du monde agricole de notre modèle de production circulaire et durable, au plus près des agriculteurs et des coopératives, avec des débouchés orientés vers les filières de productions animales et le grand public. L’insecte devrait redevenir l’un des maillons essentiels de la chaine alimentaire, des poissons et des poulets notamment, et s’insérer là où il est le plus utile, tant pour ses impacts nutritionnels (le poulet et la truite sont fortement insectivores), que pour le bien-être pour l’élevage et ses intérêts environnementaux. Vous pourrez retrouver Invers dans le Hall 1 (B59) où, au-delà de la filière et de la nutrition professionnelle, nous vous ferons découvrir toute notre gamme grand public, des vers de farine pour les oiseaux aux produits pour la basse-cour et bien entendu notre gamme Pet food aux insectes avec les marques Tomojo et Invers. Cette année encore, nous repenserons à la surprise initiale du monde agricole et de la Région AURA en 2019, qui a laissé place depuis à la reconnaissance de l’intérêt de cette filière singulière, apporteuse de solutions pour le monde agricole. Nous sommes d’ailleurs nommés aux Trophées de l'Agriculture du Puy-de-Dôme dans la catégorie responsabilité environnementale. L’actualité de la semaine dernière a été marquée par la procédure de sauvegarde de nos confrères de Ÿnsect. Nous partageons de nombreux combats avec Ÿnsect et les autres producteurs d’insectes au sein de l’IPIFF (International Platform of Insects for Food and Feed) (notre interprofession Européenne), notamment celui de permettre une réglementation de bon sens en Europe pour les producteurs et les utilisateurs, sans ajouter contrainte sur contrainte, et permettre de redonner sa place à l’insecte dans les filières de nutrition animale, notamment pour l’élevage des poissons fortement dépendant des farines de poissons d’océan. Je tiens à exprimer tout mon soutien aux équipes de Ÿnsect dans cette période difficile, en souhaitant qu’une issue favorable soit rapidement trouvée pour la poursuite de leur activité. Retour sur le Sommet 2023

🌱 Meilleurs vœux pour 2025 🌱 Alors que 2025 s’annonce comme une année difficile, nous souhaitons à tous les Calédoniens une bonne et heureuse année. Chez Stop ô pertes, nous restons engagés pour renforcer la souveraineté alimentaire, lutter contre le gaspillage et développer une agriculture durable. Souveraineté alimentaire : une priorité collective 💬 💬 Selon la chambre d’agriculture et de la pêche de Nouvelle-Calédonie (CAP NC) : • 60 % à peine d’autosuffisance alimentaire en Nouvelle-Calédonie • 85 % des produits transformés sont importés. Face à ces chiffres, il est essentiel d’agir pour garantir une alimentation locale, accessible et de qualité. Emmener des produits bio dans les cantines scolaires : un enjeu pour nos enfants En collaboration avec l’association des producteurs et transformateurs de manioc de Waawiluu, nous travaillons à introduire des produits locaux et équilibrés dans les cantines scolaires. Notre objectif : Augmenter la part de produits locaux et bio dans l’assiette de nos enfants. Vers une filière agroalimentaire d’avenir 📊 Pour tous les acteurs économiques, comme le souligne le dernier rapport d’NC ECO l’agroalimentaire est une filière d’avenir pour la Nouvelle-Calédonie. Voici les priorités identifiées : • Soutenir les producteurs locaux : valoriser leurs surplus et renforcer leurs capacités. • Innover avec des solutions modernes : grâce au soutien de la french tech tremplin 2023, notre plateforme collaborative vise à connecter producteurs, transformateurs et consommateurs. • Rebâtir une dynamique durable : structurer la filière pour atteindre une autonomie alimentaire réelle. Nos engagements pour 2025 ✅ Renforcer la plateforme Stop ô pertes pour limiter le gaspillage alimentaire et valoriser les surplus des petits producteurs. ✅ Collaborer avec les cantines scolaires pour garantir des produits bio et/ou locaux dans les assiettes de nos enfants, avec le soutien de l’association des producteurs et transformateurs de manioc de Waawiluu. Clin d’œil au cluster Pacific Food Lab NC qui fait un gros travail sur ce sujet depuis 10 ans maintenant. ✅ Travailler avec les transformateurs et les distributeurs pour valoriser les invendus des producteurs agricoles et trouver des débouchés commerciaux pour ces produits. ✅ Collaborer avec les acteurs associatifs, économiques et institutionnels pour promouvoir la commercialisation de produits issus d’une agriculture biologique, locale et/ou familiale. 💡 Construire un avenir alimentaire durable est possible, mais cela commence par nos actions d’aujourd’hui. Ensemble, faisons de 2025 une année d’engagement et de résilience.

A retrouver dans cet article les nombreuses réflexions issues de notre auragritour#2. 🙏 Valentin Lungenstrass

Les PAT ou P.A.T. au service de nos territoires et de leur avenir alimentaire 🌱 [Imaginez un territoire où manger local, sain et durable n’est pas seulement une option, mais une réalité pour tous. Un territoire où les agriculteurs, les restaurateurs, les collectivités et les citoyens travaillent main dans la main pour bâtir un système alimentaire résilient. C’est précisément ce que permettent les Projets Alimentaires Territoriaux (PAT).] Créés par la Loi d’avenir pour l’agriculture, les PAT sont des outils stratégiques qui permettent aux territoires de structurer leur système alimentaire. L’objectif ? Répondre à des enjeux locaux comme : - La souveraineté alimentaire, en valorisant les circuits courts et les produits locaux. - La durabilité, en intégrant des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement. - L’accessibilité, en rendant une alimentation de qualité disponible pour tous, y compris les plus vulnérables. - L’éducation, en sensibilisant les citoyens, notamment les plus jeunes, à mieux consommer. Se faire labelliser PAT, c’est inscrire son territoire dans une dynamique collective d’innovation et de résilience. Pourquoi votre territoire devrait se lancer dans un PAT ? 1️⃣ Un levier pour fédérer les acteurs locaux Les PAT créent un espace de dialogue unique entre élus, agriculteurs, entreprises, associations et citoyens. 2️⃣ Un accès à des financements La labellisation ouvre la porte à des subventions nationales et européennes pour accompagner des projets alimentaires structurants. 3️⃣ Un impact concret sur les territoires Les PAT renforcent l’économie locale en soutenant les agriculteurs et en dynamisant les circuits courts. Ils répondent également aux défis environnementaux en promouvant des pratiques agricoles durables. Dans l’Hexagone, le PAT de Mouans-Sartoux a transformé les cantines scolaires en intégrant 100% de produits bio et locaux, tout en divisant par deux le gaspillage alimentaire. Gilles PEROLE, tu me corrigeras. A Morne-à-l’eau, nous avons sensibilisé les citoyens et futurs citoyens à l'alimentation durable en installant 8 jardins créoles dans les écoles notamment. --- Aujourd’hui, je commence ma mission d’animatrice du Réseau des PAT de Guadeloupe confiée par la Direction de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt (DAAF) (avec Aude BELLOCHE) Pendant un an, mon rôle sera de : - Fédérer les 5 PAT déjà labellisés de la Guadeloupe et accompagner les nouveaux candidats. - Partager des bonnes pratiques et créer des synergies entre les territoires. - Soutenir la montée en compétences des acteurs locaux pour faire de l’alimentation durable une réalité partagée.

Réflexion commune #1 💬 ⚖️ "Un travail d’équilibre pour éviter les raccourcis" L’une des missions de la Maison de l’Agriculture Biologique du Finistère est d’accompagner des acteurs et actrices de la restauration collective vers une alimentation saine et durable. Lors d’ateliers avec les cuisiniers, des recettes végétariennes sont proposées. Parce que ce sont des terrains culinaires encore inexplorés en restauration collective, parce que ce sont des possibilités d’apporter des sources de protéines d’une manière différente grâce à l’intégration de légumineuses - cultures riches de sens dans le modèle agricole et la biodiversité que nous défendons -, parce que le repas végétarien est une obligation réglementaire dans le cadre de la loin EGAlim, parce que ce sont aussi des repas économiques. Et de cette économie réalisée, des achats de viandes labellisées peuvent être imaginés dans des contextes financiers que l’on sait tendus. ➡️Pour autant : manger bio n’est pas synonyme de manger végétarien. Et le combat de la MAB29 et du GAB29 est bien de travailler à développer toutes les filières bio, de manière équilibrée et avec le sens des réalités. La communication tient alors toute sa place ici : faire passer des messages de manière claire et équitable, éviter les raccourcis, toujours expliquer, en transparence, et avec ce souci du réel et des enjeux économiques. Et se dire que dans la bio comme ailleurs, le collectif sera toujours plus fort et efficace. #alimentationsaineetdurable

Le Groupe de travail sur le lait cru du RMT Fromages de Terroirs a construit le projet #ASSIMILAIC en 2023 pour approfondir l’accompagnement des producteurs laitiers et fermiers, transformateurs, conseillers, formateurs… en lait cru sur la base des travaux du RMT sur les écosystèmes microbiens depuis plus de 15 ans. Ce projet a été retenu pour un financement @FranceAgriMer et bénéficie de l’appui des trois interprofessions laitières @CNIEL @ANICAP @FranceBrebisLaitière. Il durera 3 ans et demi. Les partenaires du projet se sont rassemblés les 5 et 6 septembre à la Maison du Lait pour lancer les travaux. Ce séminaire a également permis aux acteurs des territoires pilotes engagés de se rencontrer et de partager leurs enjeux autour de l’accompagnement des opérateurs en lait cru. Les territoires pilotes sont : les filières savoyardes, le Massif Central, les filières Brie de Meaux et de Melun, les filières caprines du Centre et un groupe Ovin. Institut de l'Elevage (idele), AFTAlp - Fromages de Savoie, #PôlefromagerMassifCentral, #ODGBrie, CERAQ, ACTALIA, #UniondesProducteursdeBeaufort, Chambre d'agriculture du Cantal, Chambre d'Agriculture de Région d'Ile-de-France, CHAMBRE D'AGRICULTURE DU CHER, #ODGSainteMauredeTouraine, Ecole d'Ingénieurs de PURPAN, ENILV La Roche sur Foron, ENILEA Mamirolle-Poligny

👀 La semaine dernière a été riche en actualités alimentation pour Bordeaux Métropole L'occasion de valoriser les nombreuses actions engagées depuis l'adoption d'un Projet Alimentaire de Territoire ambitieux (12M€ sur 3 ans) fin 2022, en particulier : 🍽 La mobilisation renforcée pour faire évoluer la #restoco (accompagnement à la réécriture des marchés publics, formation des professionnels municipaux, plaidoyer européen etc.) considérée comme un levier incontournable d'amélioration de la santé publique et de structuration de filières agricoles locales, rémunératrices et préservant la biodiversité 🤝 Le travail de #collaboration inédit mené avec l'ensemble des acteurs du système alimentaire (agriculteurs, acteurs de la transformation et de la distribution, associations etc.) et les autres collectivités girondines à travers le Conseil Agricole et Alimentaire, qui permet la mise en œuvre de solutions réellement adaptées aux besoins du terrain et l'obtention de nouveaux financements nationaux Pour en apprendre + sur ces politiques, découvrez le dossier de presse de la Métropole ⤵ ou le Projet Alimentaire de Territoire ➡ https://lnkd.in/ehP5Kyn8 🌱 Fière d'œuvrer à cet engagement collectif aux côtés d'élus, services et acteurs mobilisés au quotidien. Plus que jamais, les collectivités ont un rôle à jouer pour accompagner la nécessaire évolution de nos systèmes agricoles et alimentaires.

Avec les #GIEE : l'#agroécologie en actions pour la triple performance économique, environnementale et sociale des exploitations (Groupement d'intérêt économique et environnemental) : #BIO63 🌿 🐮 Un collectif d'éleveurs bovins #Bio et non Bio des Combrailles (Puy-de-Dôme), accompagné par Bio63, a travaillé à maintenir et développer l'#autonomie alimentaire des élevages en associant l'optimisation quantitative et qualitative des prairies permanentes, la maîtrise des prairies temporaires et l'efficacité économique, dans un contexte de changement climatique. Leur projet : "#Prairies: rechercher productivité et qualité, la clé de l'autonomie alimentaire", reconnu GIEE de 2019 à 2023, et financé sur crédits #CASDAR du Ministère en charge de l'agriculture Leur travail de capitalisation-diffusion de leur expérience a été conduit dans le cadre d'un fort partenariat avec l'enseignement agricole (4 établissements) tout au long du projet. De quoi bien partager les questionnements et la façon de raisonner les solutions. Leurs données (valeurs d’autonomie protéique + de coûts de production) ont été retravaillées et diffusées dans le cadre de projets de collecte de références pilotés par le Pôle Bio Massif Central et l’Institut de l’élevage (Bioviandes et CapProtéines). Cela confirme l'intérêt mutuel des liens à créer, renforcer et entretenir entre les GIEE et la recherche-développement. Quelques-uns des livrables du groupe : ✅ 2 projets d'étudiants de BTS ACSE qui ont simulé des changements de pratiques dans 2 fermes du collectif, avec évaluation des conséquences sur la durabilité des fermes (performances économiques, environnementales et sociales) : 👉 chez un éleveur laitier : produire du lait bio sans concentrés 👉 chez un éleveur allaitant : produire des bœufs en étant 100% autonome ✅ Le poster d'une journée co-construite avec les équipes pédagogiques 👉 Retrouvez-les sur https://lnkd.in/gyi3SuHN #prairiespermanentes #prairiestemporaires #meteil #autonomiealimentaire #changementclimatique #economique Marie Redon Claire PAGANELLI Anne Haegelin Mathilde Campedelli Nicolas Mullenbach Laurent ROBERT Guillaume Rousset Pascal Carrere Yasmina LEMOINE Aurore SAISON GAULIER Clémence Sigaud Charlène MIGNOT Mélanie DESGRANGES Emmanuelle zanchi Emilie Ollion Sophie Valleix Nathalie PRUDON-DESGOUTTES Callois Jean-Marc bruno ferreira Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Sophie Valleix

🌎 Parfois les enjeux écologiques paraissent insurmontables, mais s'engager pour une alternative n'est pas toujours une histoire de luttes. 👩🌾 La Ferme de Bassenges, située sur le campus UNIL-EPFL, a fait le pari d'une exploitation agroécologique. Leurs pratiques sont basées sur une faible mécanisation, le travail du sol en traction animale, la production du compost et l'intégration d'une biodiversité riche dans les champs. 🍆 La ferme offre des abonnements aux paniers : un geste de soutien à l'agriculture et aux paysan·nes du coin ! En la soutenant, vous vous engagez pour une agriculture de proximité, une économie locale et une forte biodiversité 🌼 Et ne ratez pas l'opportunité d'acheter vos plantons bio au marché de la fin de semaine prochain : 18 et 19 mai ! #ferme #agroecologie #biologique #agriculture #alimentation #campus Université de Lausanne EPFL EPFL Responsible Transformation Ferme de Bassenges Bio Suisse ProSpecieRara Le Vorace

Créées en pleine pandémie de Covid-19, il y a quatre ans, les Journées de l'Agriculture 🌾 ont pour objectif de susciter l'intérêt et l'engagement de tous les Français autour du rôle crucial que joue l’agriculture dans notre pays. L'événement se déploie du 7 au 9 Juin sur l'ensemble du territoire, offrant une variété d'activités et de rencontres pour sensibiliser le public à l'importance de l'agriculture dans notre quotidien ☀ Cette année, ces journées mettent l'accent sur l'éducation alimentaire. 🥗 Eduquer à l’alimentation, c’est identifier et actionner les leviers d’actions en amont pour changer durablement les comportements alimentaires À cette occasion, INVEJA souhaite mettre en lumière le projet JACK (Just Adopt Pulses from Cook to Fork), piloté par l'ESA et financé par une aide gérée par l'Agence Nationale de la Recherche au titre de France 2030. Le projet JACK rassemble 16 partenaires privés et publics (financent une part d’auto-financement), ainsi que des contributeurs, consommateurs et agriculteurs. Lancé en 2023 pour quatre ans, JACK cherche à valoriser les légumes secs par une meilleure compréhension de leurs qualités agronomiques, nutritionnelles, sensorielles et environnementales. Le petit + ? Le projet inclus des chefs cuisiniers 👨🍳 👩🍳 dont l’approche gastronomique sur les produits permet de les valoriser de façon très créative et innovante. Aussi, de nouveaux concepts d’ingrédients et de produits seront co-conçus avec des chefs et des consommateurs. 💡L’objectif final du projet vous l’aurez compris, est d’offrir aux consommateurs des expériences multisensorielles susceptibles de provoquer des changements sur l’image perçue des légumes secs, mais aussi du comportement à domicile.  #Terrena #INVEJAFOOD #ESA #France2030 #ANR #JNAgri