"Les instits français sont pessimistes sur la situation #macroéconomique de la France". Aucun des #investisseurs sondés par l’#Af2i au quatrième trimestre 2024 ne voit d’amélioration. L'AGEFI, Nouvelle Agence Économique et Financière évoque les résultats du #Baromètre trimestriel, réalisé par l'Association française des investisseurs institutionnels (Af2i). Merci à Laurence Pochard, journaliste à l'#Agefi Hubert Rodarie Grégoire Naacke Eric Sidot Laetitia Coly
Post de Association française des investisseurs institutionnels (Af2i)
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Les fonds souverains dépassent les 13 000 milliards de dollars 💰 Une somme astronomique. Ces fonds, détenus par des États, sont devenus des acteurs incontournables des marchés financiers, investissant dans tout : 🏗️ Infrastructures. 🌍 Énergies renouvelables. 📈 Start-ups et innovation. 👉 Ce que cela signifie pour les entreprises : 1️⃣ De nouvelles opportunités de financement pour les projets stratégiques. 2️⃣ Une influence croissante des gouvernements dans les décisions d’investissement. 3️⃣ Un impact direct sur les marchés boursiers dans un contexte économique instable. Question : Votre secteur est-il prêt à capter cette manne ?
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Et c’est Jordan Bardella, dont les connaissances en économie financière ne cessent de nous impressionner pour un jeune homme de 28 ans, qui a eu cette excellente idée. On aurait ainsi le huitième plus gros fonds souverain au monde devant celui du Qatar (487 Md€), reléguant Bpifrance (un misérable 34 Md€ au bout de 12 ans) dans les poubelles de l’histoire. En trois ans on vous dit. Aux esprits grincheux qui rappellent que les Norvégiens ont mis 17 ans pour que leur fonds souverain atteigne ce niveau, malgré la rente pétrolière et gazière qui l’alimente, précisons qu’il suffirait de réduire d’un quart toutes les dépenses de l’État (salaires des fonctionnaires, intérêts de la dette, entretien des bâtiments, achats d’armement, reversements aux collectivités locales, etc.), chaque année de 2024 à 2027 pour y arriver, puisque le budget 2024 de l’État français est de 512 Md€. Comme Jordan Bardella n’a pas voulu préciser comment il y parviendrait, on pourrait lui suggérer des alternatives moins violentes, comme convertir 90 % des encours du livret A et assimilés (565 Md€) pour créer ce fonds, et tant pis pour le logement social ; ou demander aux Français d’apporter à ce fonds la moitié des leurs actions cotées d’entreprises françaises et du monde entier (1.017 Md€) détenues en direct ou via des SICAV et autres véhicules de placements collectifs. Peut-être plus simple, flécher les deux tiers de dépôts à vue des ménages français (751 Md€) vers ce fonds, et tant pis pour l’argent mis de côté pour payer le loyer à la fin du mois, ou les vacances. Et pour donner aux Français une vraie culture actions qui leur manque cruellement, faite de risque, de rentabilité et de long terme, le capital et la rentabilité seront garantis par l’État, à 2 % par an au-dessus de l'inflation. Génial ! Comment se fait-il que personne n’y ait pensé plus tôt, particulièrement hors de France ? Bravo Jordan ! Enfoncés les Américains qui, eux, ont une vraie culture actions avec 45 % de leur épargne investie en actions contre 17 % dans l’Europe des 27 (et 23 % en France), sans la moindre garantie de leur État. Enfoncés les gestionnaires du capital investissement français qui ont délivré depuis 1987 une rentabilité annuelle de l’ordre de 9 % au-dessus de l’inflation. Enfoncé le CAC 40 à dividendes réinvestis qui a délivré du 6 % au-dessus de l’inflation depuis 1988. Et comme il n’y a aucun doute que l’on y arrive, on parviendra aussi, en même temps, :-) ; à augmenter les dépenses, réduire le déficit budgétaire et la dette de l’État, sans accroître les impôts. Facile, on vous dit. Vive la magie ! Les chiffres de l’épargne des Français cités dans ce billet sont ceux de fin 2023 publiés par la Banque de France dans sa note de 4 pages Stat Info du 15 mai 2024.
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voilà un article extrêmement intéressant : -pour comprendre une réalité économique -apprehender la démagogie actuelle -voir qui lit l'article jusqu'au bout !
Et c’est Jordan Bardella, dont les connaissances en économie financière ne cessent de nous impressionner pour un jeune homme de 28 ans, qui a eu cette excellente idée. On aurait ainsi le huitième plus gros fonds souverain au monde devant celui du Qatar (487 Md€), reléguant Bpifrance (un misérable 34 Md€ au bout de 12 ans) dans les poubelles de l’histoire. En trois ans on vous dit. Aux esprits grincheux qui rappellent que les Norvégiens ont mis 17 ans pour que leur fonds souverain atteigne ce niveau, malgré la rente pétrolière et gazière qui l’alimente, précisons qu’il suffirait de réduire d’un quart toutes les dépenses de l’État (salaires des fonctionnaires, intérêts de la dette, entretien des bâtiments, achats d’armement, reversements aux collectivités locales, etc.), chaque année de 2024 à 2027 pour y arriver, puisque le budget 2024 de l’État français est de 512 Md€. Comme Jordan Bardella n’a pas voulu préciser comment il y parviendrait, on pourrait lui suggérer des alternatives moins violentes, comme convertir 90 % des encours du livret A et assimilés (565 Md€) pour créer ce fonds, et tant pis pour le logement social ; ou demander aux Français d’apporter à ce fonds la moitié des leurs actions cotées d’entreprises françaises et du monde entier (1.017 Md€) détenues en direct ou via des SICAV et autres véhicules de placements collectifs. Peut-être plus simple, flécher les deux tiers de dépôts à vue des ménages français (751 Md€) vers ce fonds, et tant pis pour l’argent mis de côté pour payer le loyer à la fin du mois, ou les vacances. Et pour donner aux Français une vraie culture actions qui leur manque cruellement, faite de risque, de rentabilité et de long terme, le capital et la rentabilité seront garantis par l’État, à 2 % par an au-dessus de l'inflation. Génial ! Comment se fait-il que personne n’y ait pensé plus tôt, particulièrement hors de France ? Bravo Jordan ! Enfoncés les Américains qui, eux, ont une vraie culture actions avec 45 % de leur épargne investie en actions contre 17 % dans l’Europe des 27 (et 23 % en France), sans la moindre garantie de leur État. Enfoncés les gestionnaires du capital investissement français qui ont délivré depuis 1987 une rentabilité annuelle de l’ordre de 9 % au-dessus de l’inflation. Enfoncé le CAC 40 à dividendes réinvestis qui a délivré du 6 % au-dessus de l’inflation depuis 1988. Et comme il n’y a aucun doute que l’on y arrive, on parviendra aussi, en même temps, :-) ; à augmenter les dépenses, réduire le déficit budgétaire et la dette de l’État, sans accroître les impôts. Facile, on vous dit. Vive la magie ! Les chiffres de l’épargne des Français cités dans ce billet sont ceux de fin 2023 publiés par la Banque de France dans sa note de 4 pages Stat Info du 15 mai 2024.
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La valorisation de la région est proche de sa moyenne historique, ce qui devrait constituer un point d'entrée favorable à la surperformance relative dans les années à venir. Øyvind Fjell, gérant de fonds, DNB Asset Management. #finance #investissement #economy #économie #marchésfinanciers #stockmarket
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💡 [ COMMENTAIRE DE GESTION ] L'édition du mois de juillet rédigée par nos experts est en ligne ! Les grandes thématiques abordées : 〰 Calme en surface… 🌊 …Mais forte agitation en profondeur 📉 Baisse de taux et récession 🔎 Pour connaître les détails de ce commentaire, c'est par ici ⬇ https://lnkd.in/e6S4cnX Merci à Pierre Bellot de partager son expertise avec nous sur le sujet ✍ #cgp #marchesfinanciers #epargneretraire #epargnesalariale
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À l’OCRI, notre mission est de favoriser des marchés financiers sains en faisant respecter une réglementation équitable et efficace afin que les investisseurs se sentent protégés et en confiance lorsqu’ils investissent pour leur avenir. Écoutez Bienvenu Claudyne, vice‑présidente pour le Québec et l’Atlantique, expliquer comment nous bâtissons un avenir financier prometteur pour tous. Regardez la vidéo complète pour en savoir plus sur la manière dont l’OCRI protège et outille les investisseurs : https://lnkd.in/ev6-dQUx #RégulationFinancière #OCRI
Comprendre la mission de l’OCRI - Claudyne Bienvenu
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💰 💹 👷♂️ 👩💼 La soutenabilité des finances locales et les questions liées au personnel seront sans aucun doute des enjeux majeurs pour la prochaine législature. En collaboration avec Belfius, Brulocalis organise un colloque le vendredi 20 septembre pour revenir sur les grandes tendances actuelles et les défis que les communes bruxelloises auront à relever dans ce domaine. Durant cette matinée d’étude, les orateurs présenteront une photographie de l’état des finances locales et un des mécanismes régionaux de soutien aux communes le plus important : le Fonds régional bruxellois de refinancement des trésoreries communales (FRBRTC). Le métier de Receveur, « grand argentier » de la commune, sera mis en lumière, permettant d’effectuer le lien avec le volet consacré au personnel. Il présentera un panorama des enjeux auxquels sont confrontés Secrétaires communaux et Directeurs des Ressources humaines et des réponses apportées pour y répondre. #Finances #Personnel #CommunesBruxelloises
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💭Le marché de l'immobilier fractionné est-il en panne 🤔? Louve Invest met sa filiale Meute Invest en pause. "On y retournera quand les taux d’emprunt permettront d’atteindre des TRI plus intéressants" assure Clement Renault à L'AGEFI Patrimoine 😓Mais les remontées terrain ne sont pas bonnes : la majorité des acteurs peinent à atteindre un volume de dossiers suffisants. Le coup de frein de Meute Invest, un des premiers à s'être lancés sur l'immo fractionné, est le symbole que le marché peine à trouver son équilibre. 🧐Point marché en préparation, preneur de témoignages en mp ;) https://lnkd.in/eCTjRNuz L'AGEFI
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Le contrôle des actifs considérés comme stratégiques est un sujet trop sérieux pour être soumis aux seules passions du moment. Le psychodrame autour de la cession du #Doliprane à un fonds américain en apporte une nouvelle fois la preuve. Il est temps de définir des règles pour préserver notre souveraineté et notre attractivité. Il est temps aussi de se donner les moyens financiers de nos ambitions en réorientant une partie de l’épargne des ménages vers le financement à long terme de l’économie. #Sanofi #Bercy #Bercy #Sanofi
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En Nouvelle-Calédonie, le débat risqué sur la subvention ou prêt de l'État- Le monde économique est à deux doigts de s'effondrer. Le BTP a rappelé sa souffrance. Le tourisme entrevoit la baisse des forces de l'ordre. Le commerce appréhende une consommation en baisse, faute de pouvoir d'achat et de départs massifs d'habitants. L'industrie sombre avec ses clients. Le nickel est à la peine. Les entreprises redoutent la fin des dispositifs de soutien à leur trésorerie fragile, subventions FSE, chômage bonifié, reports d'échéances. Le 11 décembre, un vote au Congrès de la Nouvelle-Calédonie débloquant 30 milliards CFP aux collectivités calédoniennes, par l'État, risque d'être rejeté par les élus calédoniens. La faute à un débat lunaire. Pour certains, il faut débloquer les 30 milliards le plus vite possible pour empêcher l'effondrement du service public. Le véhicule du prêt est le seul mobilisable rapidement par l'État. Pour d'autres, la Nouvelle-Calédonie ne peut supporter un emprunt supplémentaire et l'État ayant failli sur la sécurité, doit démontrer sa solidarité. Pour éclairer ce débat, plusieurs points. Les collectivités doivent comprendre l'étendue de la faillite de la Nouvelle-Calédonie, débutée bien avant les #émeutes du 13 mai, accélérée par le chaos depuis. Les entreprises ont dû recourir à contrecœur à des crédits de trésorerie, et continuent des réformes profondes de leurs organisations et modèles économiques. Avec de l'argent que gratuit, les collectivités auront-elles l'incitation de se réformer et de réduire la dépense publique? Les collectivités ont l'espoir un jour de voir leurs dettes annulées. Les entreprises n'ont pas ce luxe. Fin de la mission de M. Emmanuel Moulin, préfigurateur de la délégation interministérielle sur la Nouvelle-Calédonie. En format NC ECO nous avons échangé sur la nécessité d'un suivi stable à Paris aux moyens étendus tant financiers que techniques. Et de rentrer dans le dur du sujet, réformer et reconstruire. Sans assurance de trajectoires de réformes structurelles profondes, de la santé à la fonction publique, de la fiscalité à l'attractivité, de la gouvernance calédonienne au modèle économique performant, certains ne (re)construiront pas. CCI Nouvelle-Calédonie MEDEF NC - Mouvement des Entreprises de Nouvelle-Calédonie CMA-NC | Chambre de métiers et de l'artisanat Nouvelle-Calédonie CPME Nouvelle-Calédonie Chambre d'agriculture et de la pêche de Nouvelle-Calédonie
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