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Services de recherche

Institut national de recherches archéologiques préventives

À propos

Avec plus de 2 000 collaborateurs et chercheurs, l’Inrap est la plus importante structure de recherche archéologique française et l’une des toutes premières en Europe. Institut national de recherche, il réalise chaque année quelque 1 800 diagnostics archéologiques et 250 fouilles en partenariat avec les aménageurs privés et publics, en France métropolitaine et outre-mer. Ses missions s’étendent à l’exploitation scientifique des résultats et à la diffusion de la connaissance archéologique auprès du public. Créé par la loi de 2001 sur l’archéologie préventive, l’Inrap est un établissement public original. Placé sous la tutelle des ministères chargés de la Recherche, et de la Culture, son rôle est de sauvegarder par l’étude le patrimoine archéologique touché par les opérations d’aménagement du territoire. L’Inrap est le seul opérateur public compétent sur l’ensemble du territoire et pour toutes les périodes, de la Préhistoire à nos jours. Héritier de trente ans d’expérience, il intervient sur tous les types de chantiers : urbain, rural, subaquatique, grands tracés linéaires. À l’issue des chantiers, l’Inrap assure l’exploitation des résultats et leur diffusion auprès de la communauté scientifique : plus de 300 de ses chercheurs collaborent avec le CNRS et l’Université. L’institut contribue de façon déterminante au développement de la connaissance archéologique, en liaison avec ces institutions. Par le nombre de ses chercheurs, l’étendue de ses interventions et la masse des données recueillies, il joue un rôle moteur dans de nombreux domaines, notamment ceux pour lesquels l’archéologie préventive a profondément renouvelé les connaissances. Les missions de l’Inrap s’étendent à la diffusion de la connaissance archéologique auprès du public. À ce titre, il organise de nombreuses opérations de valorisation, le plus souvent en collaboration avec les aménageurs : ouverture de chantiers au public, expositions, publications, production audiovisuelle, colloques…

Site web
http://www.inrap.fr
Secteur
Services de recherche
Taille de l’entreprise
1 001-5 000 employés
Type
Administration publique
Fondée en
2002

Lieux

Employés chez Inrap

Nouvelles

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    Voir le profil de Dominique Garcia

    Archéologue, Président de l'Inrap et Professeur des universités (Institut Universitaire de France et Aix-Marseille Université )

    Les 13, 14, 15 juin 2025, vous avez rendez-vous avec votre histoire ! Partout en France et en Europe, les JEA sont l'occasion de découvrir l'archéologie dans 30 pays grâce à plus de 5 000 événements. Aujourd'hui et demain, grâce à la ville et la métropole de Nice, nous accueillons l'ensemble des partenaires européens et des représentants des organisateurs français (collectivités, associations...) pour préparer cette édition 2025 des journées européennes de l'archéologie.

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    [Journée d’étude] Le château de Villers-Cotterêts du XVIIe au XXe siècle 🏰 📅 L'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) et la Cité internationale de la langue française - Centre des monuments nationaux vous donnent rendez-vous le 18 avril pour une nouvelle journée d'étude sur les révélations archéologiques du château de Villers-Cotterêts ! 👷Les archéologues de l’Inrap ont accompagné la rénovation du château durant trois ans de fouilles et d’étude, de mai 2020 à mars 2023. Les résultats archéologiques sont à la hauteur de ce chantier hors norme. 🦎 En avril 2024, une première journée d'étude a permis d'échanger autour de la demeure de la Renaissance voulue par François Ier au début du XVIe siècle. Cette deuxième journée sera l'occasion de se pencher sur les modifications souhaitées par les ducs d'Orléans dans la seconde moitié du XVIIe siècle et sur la métamorphose du château lorsqu'il devient un dépôt de mendicité au début du XIXe siècle. 👉 Renseignements et inscription sur : https://lnkd.in/eQ6ErNYH Crédits photo : J. Leclerc - Inrap #CitéLangueFrançaise #LeCMN #VillersCotterêts #Inrap

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    Voir le profil de Eddie Ait

    Délégué aux relations institutionnelles et au mécénat à l’Inrap

    [#Actualité] Ce 24 mars, Dominique Garcia, président de l'Inrap, et Laurence Bertaud, présidente du Conseil régional de l'Ordre des architectes d'Île-de-France (CROIF), ont inauguré au centre des Récollets les premières Assises franciliennes de l'architecture autour de l'archéocapsule « Ce que nous murmurent les murs - Archéologie du bâti et de la construction », conçue par l’Inrap. Ayant bénéficié du soutien de la Fondation Nexity, l'#archéocapsule « Ce que nous murmurent les murs… », offre une synthèse historique de l'archéologie du bâti et des constructions, du menhir dit La Roche Longue aux travaux de restauration de Notre-Dame de Paris. Invitant à une réflexion sur les évolutions à venir de la construction, ainsi que sur le lien entre l’archéologie préventive et l’aménagement du territoire, l'exposition s'inscrit au cœur des sujets et des enjeux explorés lors de ces assises : mémoire et modernité, impact climatique, aménagement du territoire… Aux côtés de Dominique GarciaLaurence Bertaud a déclaré que « l’architecture est, par essence, un art du lien : lien entre disciplines, entre sciences et techniques, mais aussi entre générations et entre visions du monde. À travers cette exposition, nous voulons rappeler que bâtir n’est jamais un acte isolé. Construire, c’est dialoguer avec ce qui existe déjà, c’est transmettre un héritage et préparer l’avenir ». Daniel GUERIN Pierre FABRY Edouard Thiéblemont Bouiron Marc Théresia Duvernay

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    24 460  abonnés

    [💥 Brèves du Bronze] 50 nuances de brai ou les chewing-gums de bouleau en Corse aux âges des Métaux À l'occasion de la saison scientifique et culturelle de l'Inrap, des archéologues racontent des fouilles et des objets de l'âge du Bronze qui les ont marqués : Pendant longtemps, avec Thibault Lachenal (chargé de recherche au CNRS), nous avons fouillé des maisons protohistoriques dans le sud de la Corse. Là, nous avons été confrontés à d’énormes quantités de poteries à étudier. Sur certains tessons, des coulées noires étaient bien visibles et ne ressemblaient pas aux classiques « caramels », ces résidus alimentaires carbonisés. Je me souviens des fouilleurs qui, lors des séances quotidiennes de lavage, s’acharnaient à vouloir les « décoller », ratatinant de vieilles brosses à dents. Les résultats des analyses ont montré que ces substances étaient composées de brai de bouleau, un exsudat produit en chauffant l’écorce de l’arbre. On a aussi pu déterminer que ces gommes synthétiques étaient mélangées à de la poix, de la résine ou des produits de la ruche. Leur position sur les tessons montrait un usage en tant qu’adhésif ou étanchéifiant. Puis, nous avons mis au jour des nodules libres, dont certains portaient des traces de dents. Pourquoi donc mastiquer ces petites chiques ? Pour fluidifier la colle avant usage ? Possible, mais l’interprétation privilégiée est celle de chewing-gums. Probablement pas de ceux dont on fait des bulles, mais plutôt mâchouillés pour prévenir et soigner les gingivites et les diarrhées, car les molécules de bétuline qui y sont concentrées font partie de la pharmacopée traditionnelle dans les régions où pousse le bouleau. Les travaux à venir consisteront à traquer l’ADN dans ces petits objets, afin de savoir qui les utilisait et s’ils étaient collectifs, assurant ainsi, de façon consciente ou inconsciente, le partage communautaire des bactéries et donc la stimulation à l’échelle familiale ou villageoise des anticorps. Lire notre article : https://lnkd.in/eM-Xsuxw Auteur de l'article et de la photo : Kewin Peche-Quilichini

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