Quand un nouveau récit d'entreprise passe sur TF1... 💪 Dans nos ateliers pros nous invitons les participants et participantes à s'imaginer pionniers de la transition et à expérimenter des changements ⛰️ Leur organisation devient alors pionnière à son tour ❄️ Et puis vient l'effet boule de neige qui peut être déclenché, par exemple, par la médiatisation de cette expérimentation C'est un peu comme ça que nos utopies peuvent devenir des réalités 😉 Thomas Breuzard et Norsys ouvrent la voie pour donner une voix à la nature et prouvent en même temps que l'utopie n'est pas l'impossible. Merci 🙏 À qui le tour !
5 millions de personnes ont découvert sur TF1 ce qui semblait impensable : la nature peut siéger au conseil d’administration d’une entreprise ! C'est à peine croyable. Aidez nous à le relayer pour que partout, à l'avenir, la nature ait son mot à dire. 💥𝐋'𝐄𝐍𝐉𝐄𝐔 Commençons par rappeler que 72 % des entreprises européennes dépendent directement du vivant. Il est temps qu’elles lui donnent une place réelle dans leurs instances de décision. ✍️ 𝐋𝐄 𝐑𝐄𝐂𝐈𝐓 Le JT de TF1 a diffusé ce sujet en se penchant sur notre premier conseil d’administration intégrant la nature comme actionnaire chez norsys. Avec un droit de veto, rien de moins, une grande première. Une idée qui a commencé à germer chez mon père Sylvain Breuzard en juin dernier, et dont j'ai parlé pour la première fois lors d'une conférence pour l'Office français de la biodiversité en novembre. Merci Lôra Rouvière. sylvie pinatel, journaliste de TF1, curieuse et interpellée, décide de raconter cette histoire à une heure de grande écoute. Aujourd’hui, grâce à elle, cette histoire est entrée dans des millions de foyers. C'est incroyable, rien d'autre n'aurait permis une telle portée ! 📣𝐋𝐄 𝐌𝐄𝐒𝐒𝐀𝐆𝐄 Ce n’est pas une opération de com. C’est un acte de gouvernance, fondateur. Un engagement profond, ancré dans notre modèle de La Permaentreprise. Parce qu’il est temps de rendre visible ce qui doit changer, partout : - Que la nature puisse vraiment peser dans les décisions économiques - Que les entreprises puissent se réinventer à hauteur de leur interdépendance au vivant - Que l’impact ne soit pas un supplément d’âme… mais une nouvelle gouvernance Merci à Frantz Gault aka Paul Haires, notre représentant de la nature, pour ce droit de veto vu également comme un devoir de consensus. Il nous pousse à connaître nos impacts et dépendances, à faire des choix forts, à agir rapidement, avec justesse. Bravo également à Alexandre Helson de la Maison Dandoy pour son initiative similaire, nous ne sommes pas seuls ! 🤝 ➡️ 𝐋𝐀 𝐒𝐔𝐈𝐓𝐄 Si ce modèle vous inspire, suivez nous : nous annoncerons très bientôt le deuxième volet structurant de notre approche pour donner pleine voix à la nature. Et en attendant… aidez nous à le faire savoir, en repostant, commentant, taguant vos relations... 🙏