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Want to know more about Data & AI x Biodiversity? 👉 See you tomorrow at ChangeNOW ! In today’s fast-evolving sustainability landscape, biodiversity is the next frontier—yet many companies still struggle to translate high-level commitments into concrete, measurable action. At the same time, AI-powered solutions are increasingly marketed as the key to addressing all nature-related challenges. But how do we separate real impact from greenwashing? And what does “Data & AI for nature” actually mean in practice? 🕑 Join us at ChangeNOW tomorrow at 2:00pm at the Future Lab for a hands-on workshop we're co-hosting with IMPACT LABS.earth On the agenda: ➡️ What is (and isn’t) “AI” in nature tech? And how to cut through the hype ➡️ Why the rise of open and labelled data is unlocking new use cases for footprint assessment ➡️ What are real-world applications (from data extraction and benchmarking to predictive modelling) for Big Data & AI ➡️ What are key limitations (energy intensity, bias, etc.) —and how to work around them 👉 Come challenge ideas, share your experience, and leave with a clearer view of what’s possible (and what’s not). Check out the full program below cc Antoine Vallier & Vincent Stuhlen

In today’s fast-evolving sustainability landscape, biodiversity is the next frontier—yet many companies still struggle to translate high-level commitments into concrete, measurable action. At the same time, AI-powered solutions are increasingly marketed as the key to addressing all nature-related challenges. But how do we separate real impact from greenwashing? And what does “AI for nature” actually mean in practice? 💡 If you're asking yourself the same questions, join us at ChangeNOW for a hands-on workshop we're co-hosting with IMPACT LABS.earth (cc Antoine Vallier & Vincent Stuhlen) on Thursday April 24th at 2pm. On the agenda: ➡️ What is (and isn’t) “AI” in nature tech? And how to cut through the hype ➡️ Why the rise of open and labelled data is unlocking new use cases ➡️ What are real-world applications (from data extraction and benchmarking to predictive modelling) for AI ➡️ What are key limitations (energy intensity, bias, etc.) —and how to work around them. 👉 Come challenge ideas, share your experience, and leave with a clearer view of what’s possible (and what’s not). See you at ChangeNOW! Link to register in comments.

Microplastic pollution is everywhere, including major European rivers. 🌍 🚱 That’s the finding of a new special issue of Environmental Science and Pollution Research, featuring results from the Tara Microplastics expedition (Tara Ocean Fondation). The study uncovers alarming levels of microplastic contamination in Europe’s major rivers, including the Seine, Rhine, and Thames. For instance, the Seine alone carries 900 large microplastic particles (0.5–5 mm) per second. Even more worrying are the “small” microplastics (25–500 µm), which can be up to 1,000 times more numerous, posing a serious threat to aquatic life and human health. Notably, a quarter of these “large” plastic fragments on French riverbanks turn out to be virgin plastic pellets lost during transport, while the rest mostly comes from single-use plastics breaking down into invisible fragments—think of everyday items like bottles, packaging, clothing fibers, and particles shed from tires. ➡️ Crucially, researchers emphasize that recycling alone isn’t enough to solve this crisis. The key lies in reducing plastic production at its source. ❓ What’s your contribution to plastic pollution? How could stricter plastic reduction measures affect your business or investments? 💡 At darwin, we’re building a platform to help organizations map their plastic footprint across the value chain and turn those insights into actionable solutions. 📅 Interested? Book a demo with us 👉 https://lnkd.in/eZgn3K3P

🚀 Nouvelle étape, nouvelle collaboration ! 🚀 SAYARI x DARWIN Aujourd’hui, les allégations biodiversité ne sont pas toujours exprimées de la même manière pour l’affichage environnemental ‘produit’ et les rapports RSE. 1️⃣ Des enjeux différents : Les allégations RSE se concentrent souvent sur l’usage des terres, tandis que celles des produits (basées sur l’ACV – Analyse de Cycle de Vie) abordent également le climat, certaines pollutions et l’usage des terres. 2️⃣ Des métriques distinctes : Le MSA (Mean Species Abundance) est utilisé pour les allégations RSE, tandis que le PDF (Potential Disappeared Fraction of Species) est la norme pour les produits. 📌 En résumé: Le "traducteur" entre les allégations ‘produits’ et ‘RSE’ est coûteux et souvent inexact… et, à la fin, tout le monde s’y perd. 🤔 Nous avons décidé de prendre le sujet à bras le corps ! L’union fait la force, c’est pourquoi nous sommes ravis d’annoncer notre partenariat avec darwin ! Darwin développe une plateforme pour évaluer, améliorer et rendre robuste les interactions de l’entreprise avec la #Nature. 🤝 Ensemble, nous allons apporter de la cohérence dans les allégations biodiversité des entreprises. Notre ambition : faire en sorte qu’elles parlent le même langage à leurs consommateurs et à leurs investisseurs… tout en économisant du temps et de l’argent pour se concentrer sur l’essentiel : la stratégie et l’ACTION. 🌍 Ce partenariat non exclusif ouvre de nouvelles perspectives passionnantes pour nos clients. ✨ Nous continuerons à explorer d’autres opportunités avec nos partenaires actuels et futurs, car nous croyons fermement que la collaboration est la clé pour avancer vers la transition écologique. 💡 👉 Restez connectés pour suivre nos avancées ! #Innovation #Partenariat #Collaboration #TransitionEcologique #Biodiversité #ACV 🪛🔩 PS technique pour les curieux : Pour en savoir plus sur les unités de mesure (MSA, PDF) et leur impact : https://lnkd.in/ed56DWTG Aurore Falque-Pierrotin Antoine Vallier Cyprien Hallé Anne-Claire Asselin Aurore Wermeille Joséphine Gatin   📧 Vous souhaitez en savoir plus sur les possibilités de réduire votre empreinte écologique et mesurer l’impact biodiversité de vos activités ? ➡️ contact@sayari.co -- Sayari accompagne les entreprises dans l’évaluation environnementale de leurs activités et enjeux : climat et décarbonation, exploitation durable de la ressource, impacts sur les écosystèmes et mise en place de pratiques durables

Plus de 50 % de l’économie mondiale dépend des services écosystémiques — ces services “gratuits” rendus par la nature : filtration de l’eau, pollinisation, régulation du climat... Les risques liés à la perte de biodiversité deviennent incontournables pour le secteur privé. Heureusement, des outils existent pour quantifier les impacts, dépendances et risques des entreprises, grâce à des référentiels robustes comme l’approche par les pressions de l’IPBES. Chez darwin, nous développons une plateforme permettant : ✅ d’évaluer les pressions exercées sur la biodiversité et la nature ✅ d’identifier ses principales sources de risques ( 📉 perte de chiffre d'affaires) et opportunités ( 📈 gain de parts de marché) ✅ de concevoir des plans de transition compatibles avec les limites planétaires en activant les bons leviers d'action. Merci aux Les Echos Week-End et Clara LE FORT pour cet éclairage sur ces enjeux majeurs 🙏 Lien vers l'article en commentaire.

Honorée de figurer dans le classement #Choiseul100 2025, parmi les jeunes leaders qui jouent - et sont appelés à jouer - un rôle clé dans le développement économique français. 💚 Ce classement reflète aussi une tendance forte : la reconnaissance croissante de ceux qui s’engagent pour répondre aux grands défis du climat et de la nature. 💡Le rôle du secteur privé dans la lutte contre la crise de la biodiversité est désormais largement reconnu. Les entreprises et les institutions financières doivent être des catalyseurs du changement. Il ne s’agit plus seulement d’optimiser les pratiques existantes, mais bien de concevoir de nouveaux modèles d’affaires compatibles avec les limites planétaires. C’est cette conviction qui nous anime chez darwin : nous développons une plateforme qui permet de mesurer les impacts, dépendances et risques des entreprises et des fonds liés à la biodiversité, et de concevoir des plans de transition pour les réduire. Merci à l’Institut Choiseul pour cette reconnaissance. Et surtout : en route pour accélérer la transition nature 🌱 Article du Le Figaro en commentaire.

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ESG: il n’y a pas que des mauvaises nouvelles cette semaine ! ❌ La semaine a été marquée par un recul réglementaire en Europe avec la proposition "Omnibus" de la Commission européenne qui assouplit certaines obligations de reporting CSRD : ➡️ Seules les grandes entreprises (+1 000 employés et +50M€ CA ou +25M€ bilan) devront désormais s’y conformer. ➡️ Les obligations pour les entreprises des "vague 2 et 3" (PME cotées, grandes entreprises non cotées) sont repoussées d’un an. ➡️ Les ESRS, incluant le standard biodiversité, seront simplifiés, réduisant la charge de reporting. Si ce recul peut sembler un signal négatif, son impact sur le marché du reporting biodiversité pourrait être limité: les entreprises de 250 à 1 000 employés n’étaient pas encore pleinement engagées dans des évaluations approfondies de leur impact sur la nature. Et la simplification de l’ESRS E4 pourrait au contraire rendre le reporting plus actionnable. La trajectoire vers un leadership en matière de biodiversité reste inchangée : aller au-delà de la simple conformité reste clé. 💡 Mais cette semaine a aussi apporté des avancées majeures pour la nature comme le montre ces 2 articles du Le Monde (liens en commentaire) : ✅ COP16 biodiversité à Rome : un accord a été trouvé pour mobiliser $200 milliards par an d’ici 2030 afin d’enrayer la destruction de la nature. Une avancée cruciale pour atteindre les objectifs du Global Biodiversity Framework. ✅ Annulation de l’autorisation environnementale de l’A69 : un tournant majeur pour le droit environnemental en France ! Après 31 ans de procédure, la justice met fin au projet d’autoroute entre Toulouse et Castres, un symbole de la montée en puissance des recours environnementaux. 📢 Un message clair : la régulation évolue, parfois dans le bon sens, parfois en arrière, mais la pression des parties prenantes et des engagements internationaux poussent inévitablement les entreprises à intégrer la biodiversité. Le momentum est là. À elles de ne pas attendre - cf darwin

Carbon is just the beginning. 🌎 The next big shift in sustainability? Measuring, valuing, and investing in nature. Xavier Lorphelin, Managing Partner and Co-founder at Serena explores the game-changing Nature Tech innovations that investors are betting on! Key challenge areas in Nature Tech: ➡️ MRV (Measurement, Reporting & Verification) – The future lies in platforms that integrate multiple environmental indicators (carbon, water, soil, biodiversity) to help companies assess and report on risks across their value chain. ➡️ Water-tech – From water footprint measurement to precise irrigation and wastewater recycling, innovative solutions will be crucial for climate adaptation, biodiversity conservation, and fighting desertification. 👀 Top Nature Tech startups to watch: The Landbanking Group – Pioneering a new asset class, Nature Equity, for corporate balance sheets. darwin – Modeling business impacts and dependencies on the environment, beyond just climate change. Kumulus Water – Transforming air into fresh drinking water through cutting-edge technology. 🌿 At Serena, we've been backing Nature Tech since 2023, starting with our partnership with CarbonFarm, which makes Regenerative Agriculture profitable for farmers through Satellite-based MRV. We deepened our involvement by co-authoring the Nature Tech Report with Nature4Climate and MRV Collective, marking the first time a venture capital firm contributed to a report focused on nature-based solutions. In 2024, we continued this journey with another report “ Integrating NatureTech: a guide for business”, and a comprehensive analysis of VC funding trends in the Nature Tech space, highlighting the rapid growth of investments and the real-world impact they are driving.