📢 Retrouvez notre porte-parole, Julie Frère, sur le plateau de RTL Belgium pour décrypter l'inflation de ce mois de novembre. 🛒 Depuis trois ans, nous suivons de près l’évolution des prix dans les supermarchés. En novembre, l’inflation repart à la hausse : 3,23%. À titre de comparaison, elle était de 3,1% en octobre. Quels sont les produits qui ont le plus augmenté ? Découvrez notre analyse complète ici. 👇 https://lnkd.in/eE47jj4V
Post de Testachats
Plus de posts pertinents
-
🛒 C'est le début du mois, l'occasion de (re)faire le point sur l'inflation alimentaire grâce à notre suivi des prix de plus de 3000 produits de base dans 7 chaînes de supermarchés. ↗ Malheureusement, pour le mois d’octobre, l’inflation poursuit sa hausse et atteint 3,1%. C’est la 4e hausse consécutive depuis le mois de juin (2,31%), juillet (2,49%), août (2,5%) et septembre (2,76%). Le chocolat noir 🍫 (+30%), l’huile d’olive (+27%) et les jus d’orange 🍊(+22%) se retrouvent toujours dans le top 3 des produits ayant le plus augmenté en un an. Si on prend un peu de distance, notre panier est toujours 27% plus cher qu’en janvier 2022, mois durant lequel l’inflation a dépassé les 2% pour la première fois. A titre d’exemples, le ketchup est ainsi 85% plus cher qu’en janvier 2022, la moutarde 64%, l’huile d’olive 61%, les oignons 61% et les carottes 57%. 💶 En parallèle, notre enquête menée auprès de plus de 4800 de nos membres sur leur satisfaction à l'égard de leur supermarché montre que le le prix demeure le critère ayant le plus d'influence (33%) sur la satisaction, avant - les raisons pratiques (32%), - l’éventail de produits disponibles (12%) et - la qualité des produits disponibles (10%) ↙ Autre constat intéressant, contrairement à ce à quoi l’on pourrait s’attendre les ménages ont moins dépensé mensuellement en moyenne en 2024 (450 €) qu’en 2023 (468 €) alors même que les prix ont augmenté. En réalité, cela s’explique par le changement des habitudes d'achat des ménages, qui privilégient notamment davantage les marques propres aux produits de marques plus onéreux. Mais tout le monde n’est pas logé à la même enseigne ! Les personnes en situation financière difficile dépensent en moyenne 24 € de moins par mois que la moyenne, mais à la différence des autres, leurs dépenses ont augmenté par rapport à l'année précédente : elles s'élèvent désormais à 426 € contre 410 € en 2023 (+4 %). Il est probable qu’elles achètent déjà principalement des marques distributeur, limitant ainsi leurs possibilités d’économies supplémentaires. Pour revoir mon passage dans le JT de RTL Info à ce sujet, c'est par ici 👇 https://lnkd.in/eZjKJ8jY
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Comme chaque mois, Testachats / Testaankoop communique ses chiffres concernant l'#inflation en #supermarchés. Bonne nouvelle, pour le 14e mois consécutif, celle-ci est en baisse et s'élève à 2,34% en mai 2024 (contre plus de 20% en mars 2023). Néanmoins, notre panier - qui comprend plus de 3000 produits de base - a augmenté de 21% en deux ans. Certains produits, tels que les produits laitiers, sont 22% plus chers qu’il y a deux ans, alors que : 1) les prix sont globalement en baisse sur les marchés de gros depuis juin 2022, et que 2) les producteurs de lait ont encore tout récemment manifesté leur demande d’un revenu équitable. En d’autres termes, les consommateurs et consommatrices paient plus, mais les producteurs ne semblent toujours pas rémunérés correctement. Ce constat nous amène à continuer de transmettre nos données à l’Autorité belge de la concurrence pour qu’elle se penche sur d’éventuelles anomalies. Face à cette situation, nous demandons plus de transparence sur les marges et coûts tout le long de la chaîne alimentaire, afin de s'assurer que le gâteau soit équitablement réparti. Dans ce contexte, le gouvernement a mis en place une Taskforce agro-alimentaire qui regroupe tout le secteur: distributeurs, fabricants, agriculteurs/producteurs, représentants des consommateurs pour discuter des mesures à prendre. Ces discussions ont menées à l'adoption de diverses mesures, dont l'interdiction de la vente à perte pour les agriculteurs/producteurs. Celle-ci ne leur était en effet pas applicable, seule la (re)vente à perte (par les supermarchés) était interdite. Reste maitenant à définir clairement les éléments à prendre en compte dans le calcul du coût de production d’un produit alimentaire. Les discussions à ce sujet risquent être houleuses entre les différents acteurs… https://lnkd.in/dnizA49R
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
En 2025, les finances des consommateurs vont encore être sous tension, comme le souligne cet article des #Echos. Malgré un espoir de reprise, les défis liés à l’#inflation passée et à une #consommation toujours contrainte ne disparaîtront pas du jour au lendemain. Pour de nombreux foyers, il s’agira d’une nouvelle année à jongler entre #pouvoirdachat réduit et priorités essentielles. C’est dans ce contexte que notre mission prend tout son sens. En 2025, nous avons une opportunité unique et une responsabilité majeure : apporter une solution concrète et accessible aux consommateurs, en soutenant directement l’#économielocale et en proposant des #produits de qualité, sans intermédiaires inutiles. Nous sommes convaincus que le déploiement à grande échelle de notre solution, soutenu par des #partenariats stratégiques et une visibilité accrue sur les chaînes #nationales, peut faire une vraie différence. Notre objectif ? Rendre une #alimentation saine et abordable accessible à tous, tout en soutenant nos #commerçants et #producteurs. 2025 ne sera pas une année facile, mais c’est ensemble que nous pouvons relever ce défi. #solidarité #innovation #consommationlocale #soutenonsnosproducteurs
Les géants de la grande #consommation se préparent à de nouvelles montagnes russes en 2025. Le pic d'inflation de 2022 et 2023 a entraîné des baisses de ventes en volume qui se sont poursuivies en 2024. Avec la fin de la hausse des prix, les enseignes et leurs fournisseurs ont parié sur le redémarrage de la consommation, avec des leviers différents. L'analyse de Philippe Bertrand et Dominique Chapuis pour Les Echos. https://lnkd.in/eqgSnPG8
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Hier soir, dans le JT de RTL Belgium, je faisais le point sur le dernier panier de Testachats / Testaankoop de l'année 2024. 📉 On termine cette année avec une bonne nouvelle: l'inflation alimentaire a légèrement baissé, passant de 3,23% en novembre à 2,81%. Cette baisse met fin à cinq mois consécutifs de hausse de l’inflation ! Sans surprise, on retrouve le chocolat noir 🍫 (+33%), l’huile d’olive 🫒 (+24%) et les jus d’orange 🍊 (+21%) dans le top 3 des produits ayant le plus augmenté en un an. Parmi les produits ayant le plus baissé en un an, on retrouve le chou-fleur (-14%) et la salade iceberg 🥗 (-13%). 💶 Malheureusement, le panier de Testachats est toujours 27% plus cher qu’en janvier 2022, mois durant lequel l’inflation a dépassé les 2% pour la première fois. Le ketchup est ainsi 84% plus cher qu’en janvier 2022, la moutarde 71% plus chère, l’huile d’olive 63% et les oignons 59%. ❓ Et pour 2025? Le Bureau du Plan s’attend à une baisse de l’indice des prix à la consommation, avec une inflation générale sous la barre des 2 % durant le 2ème semestre de l’année – pour rappel nous sommes à un peu plus de 3 % aujourd’hui. La baisse devrait être en lien avec les prix de l'énergie et la stabilisation des coûts des matières premières. 🛑 Mais les prédictions toujours hasardeuses pour les prix alimentaires qui sont particulièrement sensibles aux effets de cascade, certains prévisibles, comme les indexations salariales dans les secteurs de l’agro-alimentaire, d’autres beaucoup moins, comme les coûts de l’énergie et des transports, des télécoms, d’éventuelles crises pouvant toujours survenir, … A cela s’ajoute l’avenir des accords européens dans le cadre du Mercosur : augmentation des produits importés grâce aux tarifs douaniers réduits, impact sur les producteurs locaux, … 🛒 Le futur est incertain et les consommateurs demeurent toujours soumis à des prix élevés si on les compare à 2022, mais le secteur de la grande distribution reste celui où le potentiel d’économie est le plus important. Nos analyses montrent qu’il est possible d’économiser plus de 500 euros par an pour un ménage de deux personnes en modifiant ses habitudes. Pour revoir mon passage, c'est par ici 👇 https://lnkd.in/eCkTxFQz
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les géants de la grande #consommation se préparent à de nouvelles montagnes russes en 2025. Le pic d'inflation de 2022 et 2023 a entraîné des baisses de ventes en volume qui se sont poursuivies en 2024. Avec la fin de la hausse des prix, les enseignes et leurs fournisseurs ont parié sur le redémarrage de la consommation, avec des leviers différents. L'analyse de Philippe Bertrand et Dominique Chapuis pour Les Echos. https://lnkd.in/eqgSnPG8
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Pétrole, café, etc : des prix chutent, d'autres flambent ; crèches privées : le drame de Lyon a ...: La baisse globale des prix dans la grande distribution cache une grande disparité entre les différents produits. Quand certains amorcent une ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
☀️ Elan méditerranéen ! L'Espagne et l'Italie stimulent la croissance des produits de grande consommation en 2024 tandis que la reprise est beaucoup plus lente dans le reste de l'Europe. La croissance des PGC FLS sur les marchés de la région EMEA (+1% en unité sur les 9 premiers mois de l'année) est soutenue par les bonnes performances de l'Espagne et de l'Italie, pays où la consommation intérieure et un climat de confiance ont favorisé les investissements et accéléré la reprise. À l'inverse, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France connaissent une reprise beaucoup plus lente. La France figure même en toute fin de classement avec une très légère érosion des achats de produits de grande conso sur les 3 premiers trimestres. En octobre, selon une étude UFC Que Choisir, 65% des Français déclaraient toujours limiter leurs achats suite à la hausse des prix des dernières années. Des prix qui n'augmentent plus mais dont le niveau, bien plus élevé qu'il y 3 ans, continue donc de peser sur le pouvoir d'achat des Français tandis que l'instabilité et l'incertitude politiques entament le vouloir d'achat. #pgc #consommation #distribution Ananda Roy Tom Hill FIIC Anne Haine Cecilia Manget François Valadas Sophie Rousset Thierry Saint-Martin
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
La revue de presse du retail : Croatie : C'est quoi cette grève « WTF » des consommateurs pour protester contre l'inflation ?: Les Croates en ont assez de l'inflation. Pour protester contre le coût galopant de la vie, ils ont décidé de boycotter la grande distribution. Cette ... ➡️ Abonnez-vous à la revue de presse du retail. Vous souhaitez faire évoluer vos concepts commerciaux tout en maximisant stratégie, déploiement et performance ? Échangeons ensemble, contactez-nous ici : https://lnkd.in/enzTRzgZ. #retail #distribution #commerce
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
❓ La France à la traine ? Selon les données Circana, la France affiche la plus mauvaise tendance sur 2024 sur le secteur des produits de grande consommation. En moyenne des 6 pays étudiés, les unités de ventes en grandes surfaces repartent en croissance à +0,8%, grâce notamment à la locomotive espagnole. La France est, quant à elle, en queue de peloton avec une régression persistante de -0,5%. Comment expliquer ce décalage à l'heure où les prix se stabilisent plus clairement en France que chez nos voisins ? Plusieurs explications derrière ces chiffres (n'hésitez pas à commenter) mais en voici 2 qui me semblent intéressantes : Tout d'abord, la très forte préoccupation des Français, plus forte que chez nos voisins, autour du pouvoir d'achat avec plus de 90% de la population qui a le sentiment que son pouvoir d'achat a baissé depuis 12 mois. Un pouvoir, mais aussi un vouloir d'achat, qui semblent durablement entamés dans notre pays. Ensuite, un secteur de la grande distribution challengé par d'autres acteurs de l'alimentation (spécialistes des produits frais, boulangeries...) et des produits d'entretien et d'hygiène (destockeurs, pharmacies...). Une consommation en France qui se fragmente nettement ces dernières années, en défaveur des grandes surfaces. Anne Haine Ananda Roy Cecilia Manget François Valadas Agnès Morez Sophie Rousset Thierry Saint-Martin Laura Deniau #europe #consommation #pgc
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
La revue de presse du retail : Les paysans restent soumis aux tromperies de la Macronie - L'Humanité: Ce jour-là, il osait tenir des propos visant le comportement ravageur des enseignes de la grande distribution. ... grandes surfaces. » La LME ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
Publié par le même auteur
-
Meta suspend son projet IA, impôts en retard, vol annulé, prix du mazout,...
Testachats 9 mois -
Meta bevriest AI-plan, sport- en cultuurcheques reactiveren, belastingaangifte indienen, ...
Testachats 9 mois -
Influenceurs, évolution des prix de l'énergie, Meta, données personnelles et IA...
Testachats 9 mois