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⚠️ La semaine du 24 au 30 avril était placée sous le signe des VPS croisées (Visites de Prévention Sécurité) du côté de l'Agence Interventions de Grenelle. Une belle initiative qui a pour objectif de renforcer la vigilance partagée et la culture juste. Mon avis sur cette expérience : ✅ un regard croisé avec le manager de l’AI. ✅ des échanges constructifs afin de renforcer la sécurité mais aussi la culture client. ✅ comprendre les problématiques terrain rencontrées par nos techniciens. ✅ partager leur savoir-faire et valoriser leur travail. ✅ être au cœur du terrain à l’approche des JOP

🚌 Quand l'humanité défie les procédures : L'histoire de Damien Tabard Dans un petit village de Haute-Vienne, un chauffeur de car scolaire de 72 ans vient de perdre son emploi pour avoir fait preuve de bon sens et de compassion. Après 17 ans de service, Damien Tabard a été licencié pour avoir déposé des enfants directement devant chez eux, évitant des trajets dangereux sans trottoirs ni éclairage. 💡 Réflexion : Quand les règles doivent-elles s'effacer devant le bon sens et la sécurité ? #ResourcesHumaines #Éthique #SécuritéDesEnfants #ManagementHumain Qu'en pensez-vous ? Partagez votre point de vue ! 👇

#𝑳𝒆𝒔𝑪𝒐𝒖𝒍𝒊𝒔𝒔𝒆𝒔𝑫𝒆𝑳𝒂𝑻𝒉𝒆̀𝒔𝒆 𝗣𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗽𝗹𝗶 (𝗱𝘂 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹) 1/2 Fille d’épiciers de campagne, de l’épicerie ouverte de 7h à 20h et du camion qui partait sillonner les routes j’ai pris très jeune « le pli du travail » (1). D’abord, je pense avoir pris ce pli en devant « donner la main », en particulier pour porter des cartons et garder le magasin. Ensuite, il s’agissait d’un pli par imprégnation, avec le modèle vivant de mes parents. Quels types de plis en ai-je gardé, visibles dans ma vie professionnelle, présents lors de cette recherche en thèse ? 🟪 𝗣𝗼𝗿𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗿𝘁𝗼𝗻𝘀 On les déplaçait du garage au magasin, du magasin au garage. C’était une tâche collective. Chacun y portait à sa mesure : à mon père les caisses de bouteilles, à ma mère les cartons lourds, mon frère et moi gardions les petites choses et les cartons légers. La satisfaction, c’était d’avoir terminé le tas et d’entendre ma mère dire : « C’est bien. » On n’avait pas à se dire merci. Le pli du travail qui m’est resté à travers ces cartons m’est particulièrement apparu lorsque j’étais inspectrice de l’Éducation nationale, au moment du covid, lorsqu’un camion livrait les dizaines de cartons de masques qui ont encombré les bureaux pendant des mois. Je n’aurais jamais pu laisser aux autres personnes de l’équipe la tâche de porter seules ces cartons. On allait le faire ensemble et ce serait bien. Et aujourd’hui, au cours de cette thèse, elles ne me coutent toujours pas, les tâches matérielles de préparation, d’organisation de réunions, d’une journée d’études ou d’un colloque. Si on ne porte pas les cartons, il ne se passe rien. En cela, ces tâches sont nobles et je n’aurais pas l’idée de les déléguer. On le fait ensemble et c’est bien. A suivre... (le texte complet sur mon blog : https://lnkd.in/ehNhyweh ou la suite ici : https://lnkd.in/eHTj7wAr) (1) C’est à Marie-Hélène Lafon, écrivaine et fille d’agriculteurs, que je reprends cette expression et l’idée de « prendre le pli du travail », analogie du coup de fer que l’on donne à un tissu, qui en restera marqué. Dans son monde agricole, les enfants devaient « donner la main » aux travaux des champs, à la vie de la ferme et de la maison. https://lnkd.in/exXGzgKx Photographie : Nick Fewings - Site unsplash.fr

Bonjour, Aujourd'hui j'ai envie de parler de la prise de côtes. A mon sens, la prise de côtes représente 50% du travail. Cette fameuse prise de côtes ne sert pas qu'à prendre les côtes, elle serre aussi à observer l'environnement et donc prévoir les futurs problématiques. Beaucoup d'entreprise générale, par soucis d'économies, préfèrent la faire eux mêmes et, bien entendu, se trompe ou ne prennent pas tout en compte. Résultat, lors de la pose, on perd 30% de rendement car on doit palier à ces manquent. On peut pas dire à notre client débrouille toi, c'est pas la politique de la maison. Pour en finir avec ça et ne pas nous engager financièrement sans contrepartie, nous avons choisi, chez SEMEVI, d'accompagner gratuitement nos clients sur la prise de côtes mais à titre indicatif, sans aucune responsabilité. C'est du gagnant gagnant car nous récupérons les 30 % de rendement perdu et notre client a le droit à un appuie technique non négligeable. Qu'en pensez vous?

Voici le parcours d'une ancienne élève de la section BTS.

Ces enfants vont me tuer, s’exclama notre directrice (groupe C) Pourquoi ? Parce qu’ils voulaient une condition d’éducation plus confortable. Nous étions cinq. Le bâtiment de notre salle de classe était dans ces derniers états. La porte de l’entrée était vieille. Les fenêtres en fer étaient rouillées et trouées de partout. Chaque fois quand il pleuvait tout le monde se serra l’un contre l’autre comme si nous étions dans un étau. Le bureau du maitre était constitué d’une table et d’une chaise. La table s’ébranlait à moindre erreur, la chaise n’était plus à même de supporter l’équilibre de ce dernier. C’était dans ces conditions que le gouvernement venait de construire un z’joli bâtiment en faveur des écoliers du groupe A. Ces derniers étaient contents. Tous les maitres s’acharnaient au travail afin de donner de meilleur résultat. Vu cela, nous avions pris l’habitude de nous faufiler parmi l’effectif du CE2 chaque jour. Deviner quoi? A cause du nouveau bâtiment. Odjé...! Quelques jours plutard, la directrice constata notre absence répétée. Alors que nous étions de l’autre côté entrain de profiter du nouveau bâtiment...haha…! Héée...…vous aussi hein! Tout à coups, nous aperçûmes notre directrice apparu dans la salle et dit : Directeur groupe A, il y a quelques-uns de mes éléments ici que je voudrais récupérer. Et puis elle sorta le grand registre d’inscription et commença par appeler nos noms l’un après l’autre. A chaque fois qu’elle appela quelqu’un, la personne prenait deux coups de lanières bien dosés. Ouais! Tous les visages étaient bien tendus. Les larmes? Oh non, ça coulaient à flot! C’est ainsi qu’elle réussit à nous récupérer. Nous nous retournâmes dans notre salle de classe pour la suite de l’année. Leçon : Quelque soit votre condition, ne jamais envier la vie de quelqu’un. Chacun a son fuseau horaire. N'oubliez pas de lâcher un like et partager vos expériences en commentaire. Merci et à très vite.

Pourquoi, après 50 ans, les entreprises deviennent-elles des mammouths? Elles finissent asphyxiées par la complexité et par la bureaucratie. Il y a sans doute plusieurs explications. J’en vois une qui me paraît séduisante. La voici👇 𝗠𝗼𝗻 𝗵𝘆𝗽𝗼𝘁𝗵𝗲̀𝘀𝗲, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗗𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 « 𝗿𝗲𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 ». Pour dire très vite des choses complexes, celle-ci consiste à « formaliser » les procédures. Ceci demande un gigantesque travail de « formalisation », à toute heure, car tout doit désormais avoir une trace écrite en tout temps. Des procédures assorties de « points de contrôle », afin d’éviter les risques afférents. Ainsi on peut mieux « contrôler » les activités. On engage alors des gens pour vérifier que le travail a été fait. On assure la « traçabilité » des actions et de certaines décisions. Mais la Direction ne « contrôle » rien. Elle ne peut pas « maîtriser » l’imagination, les choix et les décisions des acteurs de l’entreprise. 𝗟𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 —𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗳𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻— 𝗻𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗻𝗶 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂𝗲𝘀, 𝗻𝗶 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́𝗲𝘀 𝗻𝗶 𝗺𝗮𝗶𝘁𝗿𝗶𝘀𝗲́𝗲𝘀. On ne peut forcer personne à: ❌adhérer aux objectifs, ❌appliquer intelligemment les procédures, ❌collaborer, ❌partager les infos, ❌faire remonter les infos, ❌partager son savoir-faire, ❌s’occuper du business et des clients comme le patron. En suivant cette « recette », on crée un empire de papier — avec l’illusion d’avoir le contrôle. Bref, un mammouth. Ça vous parle?

La METHODE COUÉ n’aura donc pas marché… des lots, c’est à dire des « parties » des événements des JOP à gardienner n’ont pas trouvé preneurs, les entreprises ont lucidement refusé de concourir sachant qu’elles ne pourront assurer les prestations : manque d’effectifs et cahiers des charges trop exigeants. Qui va donc payer le surcoût ? Car on ne pose pas dans un coin pendant 12h un policier, gendarme ou militaire, comme un « VIGILE ». Il y a un environnement, une hiérarchie, une logistique à assurer. Personne ne veut payer au juste prix, et donner des perspectives, des conditions de travail attractives aux professionnels du privé pour exercer leur métier. C’est donc le contribuable qui va passer à la caisse !

Care+ dernière ligne droite pour la saison 3 Chaque promo est unique, et si il y a dans le contenu des invariants, nous ajustons avec Hervé Heinry le scénario pédagogique au fil de l’expérience des sessions. Comme dit souvent Hervé « Nous formons des personnes, pas des fonctions. » Contronté à un environnement singulier, chaque dirigeant(e) cherche sa façon de manager juste avec qui elle, il, est. C’est ce processus que nous accompagnons. La saison 4 débutera en du 19 au 21 novembre, alors, si ce chemin vous tente, il est encore temps de l’emprunter. #EHESP #management #formationcontinue #GEPSO

𝐒𝐨𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞, 𝐫𝐞𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐲𝐯𝐚𝐥𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐨𝐧𝐜𝐭𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐢𝐧𝐜𝐚𝐫𝐧𝐞́𝐞 ! Solange, c'est un pilier du pressing . Après avoir fait ses premières armes en apprentissage, elle a passé plus de vingt ans à exercer son art au Pressing Foch, à Lingolsheim, où elle réside. Mais quand son cher Foch a dû fermer ses portes, la question de son avenir professionnel n'a pas longtemps flotté dans l'air – en 1998, elle est arrivée au Pressing Finkwiller avec Larem (sa boss ) et en 2014, lors de ma reprise des pressings , elle a su se rendre tout bonnement… indispensable ! Solange n'est pas seulement douée dans l'art de rendre les plis impeccables. C'est aussi un modèle de ponctualité ! Officiellement, elle commence à 8h, mais si vous passez devant le pressing vers 6h30 du matin, n'ayez crainte de voir des fantômes – c'est juste Solange, déjà en poste, en train de préparer la journée avec toute la rigueur qui la caractéristique. Incroyable, mais vrai : elle pourrait donner des leçons de ponctualité à toute la France ! Sa polyvalence, elle la cultive avec le même soin que ses piles de linge. Elle sait tout faire : du repassage méticuleux à la réception des clients, en passant par quelques conseils avisés aux plus jeunes collègues. Pas étonnant que chacun ici, clients comme collègues, l'apprécie et la considère comme un modèle. Alors oui, la retraite approche doucement… mais chut, ne lui en parlons pas trop ! Car tant qu'elle est avec nous, c'est une chance que l'on chérit chaque jour, et une énergie débordante qui infuse le pressing . Merci, Solange, pour ta constance et votre professionnalisme ! www.lepressing.alsace www.lepressing.alsace