Post de FEVIS

[𝗙𝗥𝗢𝗡𝗧 𝗖𝗢𝗠𝗠𝗨𝗡 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗟𝗘𝗦 𝗔𝗥𝗧𝗦] Comme tous les organismes en culture, le CEAD est préoccupé par un financement public qui n’est pas à la hauteur de nos attentes et ambitions. Nous sommes solidaires avec Le Front commun pour les arts qui regroupe 17 associations du milieu culturel, et rejoignons avec conviction le mouvement pour faire entendre la voix des artistes et des organismes culturels auprès du gouvernement. Parmi les revendications figurent : - Porter à 200 millions $ les crédits permanents du CALQ dès la prochaine année financière ; - Viser la consolidation des budgets du CALQ en rendant l’ensemble de ses crédits permanents ; - Systématiser l’indexation des programmes du CALQ ; - Faire de la culture d’ici une véritable priorité gouvernementale dotée d’une vision à long terme pour les milliers d’artistes et travailleurs culturels du secteur. Pour en savoir plus : https://lnkd.in/eQY67iPU #Frontcommunpourlesarts #Laculturemeritemieux

| COMMUNIQUE | Budget 25 : alerte sur la diversité culturelle ! → https://lnkd.in/emcfA4WX 🔴 40 organisations professionnelles du champ culturel et artistiques se mobilisent pour demander le retrait de toute baisse des crédits du ministère de la Culture et faire valoir les structures non lucratives et d’utilité sociale déjà précaires et fragilisées. Ce sont pourtant elles qui maillent les territoires, qui font la diversité artistique et culturelle, la création dans ses multiples formes, les relations de proximité et de participation, le travail quotidien d’éducation populaire et d’émancipation...

🚨 Zéro euro pour la culture : une décision historique dans l’Hérault Le Département de l'Hérault, dirigé par Kléber Mesquida (PS), a annoncé une mesure sans précédent : zéro budget pour la culture en 2025. Cette décision historique, confirmée mais pas encore officialisée, marque un désengagement total pour le secteur. Les points clés à retenir : 📉 Coupe budgétaire totale : les 5 à 6 millions d’euros habituellement alloués à la culture (sur un budget global de 2 milliards) disparaissent. L’Hérault devient ainsi le seul département en France à ne consacrer aucun centime à la culture. 🎭 Impact direct sur les structures culturelles : fermeture progressive de lieux emblématiques comme la Scène de Bayssan ou le domaine d’O. Des spectacles annulés, des emplois menacés, et des artistes contraints de chercher des solutions alternatives. ⚖️ Contexte économique tendu : avec un déficit de plus de 103 millions d’euros, le département justifie cette décision par la priorité donnée à ses compétences obligatoires (écoles, établissements pour personnes âgées, etc.). 🛑 Un précédent inquiétant : cette décision s’inscrit dans une tendance observée dans d’autres régions, où des coupes budgétaires similaires ont déjà été opérées. Elle soulève des questions sur l’avenir de la culture comme service public. 👉 Malgré tout, certains événements comme le Printemps des Comédiens semblent pour l’instant épargnés. Fusionné à l’automne dernier avec le domaine d’O pour former une cité européenne du théâtre et des arts associés, le festival bénéficie d’un financement provenant de la métropole, qui est tenue de transférer une somme fléchée et préétablie à ces structures. Cela garantit, pour l’instant, la continuité de ses activités. 💬 Retrouvez tous les détails dans cet article de Libération : https://lnkd.in/gzhJn_ps #Culture #Budget #Hérault #ServicePublic #ÉconomieCulturelle #PolitiquesPubliques

📣 𝗖𝗢𝗠𝗠𝗨𝗡𝗜𝗤𝗨𝗘́ | 𝗕𝘂𝗱𝗴𝗲𝘁 𝟮𝟬𝟮𝟱 : 𝗮𝗹𝗲𝗿𝘁𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́ 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲 𝙇𝙖 𝙥𝙤𝙡𝙞𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙙𝙪 𝙜𝙤𝙪𝙫𝙚𝙧𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙨𝙚 𝙛𝙚𝙧𝙖-𝙩-𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙤𝙪 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙪𝙡𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙩𝙚𝙧𝙧𝙞𝙩𝙤𝙞𝙧𝙚𝙨 ? Grand Bureau est signataire du communiqué de l’UFISC aux côtés de plus de 40 organisations professionnelles du champ culturel et artistique → https://lnkd.in/emcfA4WX « Faut-il le rappeler, la majorité du champ artistique et culturel, dans le spectacle, les arts visuels, les radios, l'audiovisuel, etc. est constitué de structures non lucratives et d'utilité sociale qui souffrent d'une précarité aiguë. Ce sont des équipes artistiques, des lieux associatifs, des lieux intermédiaires, des espaces de pratiques et des écoles, des médias citoyens, des festivals, des collectifs citoyens... qui maillent les territoires locaux. Leurs modèles économiques sont tendus, l'inflation pèse sur les salaires modestes, la tension croit fortement sur leurs emplois. […] ces structures poursuivent inlassablement leur travail pour plus de participation de nos concitoyen·nes à la vie artistique et culturelle. Elles sont en effet convaincues que l'art et la culture sont un ferment puissant pour construire du commun, que l'art et la culture sont indispensables à la liberté des personnes, que l'art et la culture permettent la relation, le partage et la solidarité. »

📢 Notre culture mérite mieux que d’être fauchée.📢 Le 2 octobre, lors d'une conférence de presse, le Front commun pour les arts, dont 17 organisations culturelles sont membres, a lancé une campagne présentant les principaux enjeux de notre milieu. 🚨Les demandes du Front commun sont : - Porter à 200 millions $ les crédits permanents du CALQ dès la prochaine année financière ; - Viser la consolidation des budgets du CALQ en rendant l’ensemble de ses crédits permanents ; - Systématiser l’indexation des programmes du CALQ ; - Faire de la culture d’ici une véritable priorité gouvernementale dotée d’une vision à long terme pour les milliers d’artistes et travailleurs culturels du secteur. 🔎Pour en savoir plus et soutenir le Front commun : https://lnkd.in/esJXd8-K

💸Le département PS de l’Hérault supprime 100% des subventions à la culture en 2025. Zéro euro pour la culture donc. Ça a le mérite d’être clair. Mais fondé sur un raisonnement qui lui, l’est beaucoup moins. Je t’explique pourquoi, à mon sens, le président du Conseil Départemental du 34 se trompe lourdement : 💬« On va quand même pas emprunter pour subventionner » : c’est l’argument avancé par Kléber Mesquida, président du Conseil Départemental de l’Hérault pour justifier sa décision de ne plus financer la culture, compétence non obligatoire de l’échelon départemental. 💵 « On va pas emprunter pour subventionner ». Ben si en fait. Parce que la subvention reconnaît et encourage une action d’intérêt général. Et le boulot d’un·e élu·e c’est justement l’intérêt général. Ça marche pour tout·es les élu·es qu’iels soient de gauche ou de droite. Même si forcément on s’attend plus à voir ce principe respecté par celleux qui sont censé·es avoir une culture du collectif, de l’éduc pop et de toutes ces choses qui fabriquent du lien social. Et dans ces choses il y a aussi, bien sûr les langues vernaculaires que la France a une tenace tendance à négliger ; négligence pour laquelle elle est d’ailleurs régulièrement épinglée par l’Unesco. En plein cœur du Languedoc particulièrement, décider que la culture c’est peanuts ne manque donc pas de sel. ✊Donc quand tu files une sub, tu ne fais pas l’aumône (ça ce sont les bonnes œuvres), tu affirmes ton implication dans le projet collectif. Emprunter pour ça est donc cohérent et même nécessaire. Dire au contraire : « on va pas emprunter pour donner des subventions » revient finalement à dire « le projet collectif ? Moi je m’en balek ». Ni plus ni moins. 📆 Alors que va-t-il se passer maintenant ? Des structures, les plus fragiles, vont fermer, d’autres vont moins programmer, d’autres vont augmenter le prix des billets pour compenser. Tout le monde va y perdre : le public, les artistes, le collectif, l’intérêt général. Moins de projets culturels et un accès plus difficile (parce que plus cher) voire impossible (parce qu’inexistante) à la culture c’est moins de capacité individuelle et collective à s’abstraire, s’émanciper, aiguiser son esprit critique, comprendre le monde, tolérer l’autre. 👿Que des choses accessoires n’est-ce pas ? Bref, cette décision de couper 100% des subventions à la culture est non seulement inique et de courte vue mais elle est surtout diaboliquement dangereuse et inquiétante. 🎬 . 🗞️merci à Libération pour le papier très documenté qui remet sainement la MJC au milieu du village #culture #politiquesculturelles #subventions #interetgeneral

https://chng.it/cDXNBCqgrF Pays-de-la-Loire : mobilisation des artistes et professionnels de la culture contre les sévères coupes budgétaires envisagées par la Région. - Aujourd'hui, petit billet d'humeur, pas de start up à vous vendre, pas de post sur la motivation et de "quand on veut on peut", pas de discours disruptif. Depuis plus de 10 ans, je suis une "professionnelle de la culture": d'abord de façon bénévole, en étant membre d'associations culturelles, puis je me suis professionnalisée: j'ai un master Direction de Projets et Établissements Culturels, j'ai travaillé pour des structures diverses, dans des services culturels de collectivités territoriales, en associations culturelles. Mais c'est quoi la culture? La culture, c'est quand à 13 ans, un médiateur culturel de la Scène nationale de Chalon sur Saône, vient présenter un spectacle dans mon collège de campagne, me donne la chance de découvrir la discipline et d'aller voir une pièce dans un vrai théâtre pour la première fois de ma vie. C'est quand la petite municipalité où je grandis décide d'exonérer le prix de l'adhésion à la bibliothèque. C'est quand mon lycée engage une comédienne pour donner des cours de théâtre aux élèves gratuitement... Et pour tout ça, il faut de l'argent. Et pour que toutes ces actions soient menées dans des écoles, collèges, lycées, hôpitaux, services psychiatriques, centres sociaux, maisons d'aide à l'enfance, maisons d'arrêt, maisons de retraites, EHPAD, quartiers populaires, zones rurales... Il faut de l'argent. Qui est public. Alors le modèle économique de la Culture peut être discutable. Effectivement, les structures culturelles vivent principalement de subventions attribuées par les différentes collectivités territoriales où elles mènent leurs actions. Cet argent est contrôlé, est dépensé en respectant des règles, des projets, chaque ligne budgétaire est justifiée. (La même rigueur est-elle demandée aux entreprises du CAC 40 qui ont également bénéficié de larges subventions publiques?) Chaque proposition culturelle et artistique proposée gratuitement ou à un prix dérisoire au public coûte et c'est l'argent public qui permet cette attractivité. On a bien compris, on n'a plus d'argent dans les caisses. On doit adapter nos budgets prévisionnels imbouclables à un mois de la fin de l'exercice 2024 et du début de 2025. Alors on fait quoi? On fait payer la.e sénior.e, l'élève, ou la personne précaire qui profite d'un atelier créatif au prix fort? On mise tout sur des mécènes et sponsorings divers? On devient des Taylor Swift sur Ticket Master en appliquant des tarifications dynamiques? On laisse de côté le petit groupe de musique émergent et on privilégie la star du moment pour remplir nos jauges? L'avenir de l'exception culturelle française est-elle la rentabilité? En attendant d'avoir des réponses, grand soutien à tout le milieu culturel de la région Pays de la Loire, mais aussi à leurs publics, qui sont les plus grands perdants.

#COMMUNIQUÉ | 𝗠𝗮𝗱𝗮𝗺𝗲 𝗹𝗮 𝗣𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗣𝗮𝘆𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗟𝗼𝗶𝗿𝗲 : 𝗵𝗮𝗹𝘁𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 ! 📣 🔴 Les récentes annonces de coupes drastiques dans les budgets alloués à la culture, au sport, à la vie associative, à l’éducation populaire et aux engagements citoyens en Pays de la Loire suscitent une profonde indignation. Réduire de manière aussi brutale les subventions allouées à des activités essentielles, vectrices d’émancipation et de cohésion sociale, revient à fragiliser notre tissu collectif, à étouffer les initiatives locales et à nier l’importance du bien commun. Madame la Présidente, dans un message posté sur un réseau social, vous avez justifié cette démarche en questionnant la pérennité d’un système « dépendant de l’argent public ». Cette affirmation, s'apparente à une attaque frontale contre les valeurs fondatrices de notre modèle républicain et démocratique, venant percuter le sens même des démarches au service de l'intérêt général. 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗲𝘅𝗶𝗴𝗲𝗼𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗥𝗲́𝗴𝗶𝗼𝗻 𝗿𝗲𝘃𝗼𝗶𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗮𝗿𝗯𝗶𝘁𝗿𝗮𝗴𝗲𝘀 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀, 𝗾𝘂'𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗲 𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗾𝘂'𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻. Communiqué à l'initiative de l'UFISC Réseau Actes if A-CNAREP / Association des Centres Nationaux des Arts de la rue et de l'Espace Public CITI - Centre International pour les Théâtres Itinérants FAMDT FEDELIMA - Fédération des lieux de musiques actuelles FERAROCK Fédération Nationale des Arts de la Rue FNGEC - Fédération nationale des groupements d'employeurs culture Fracama Fédération des réseaux et associations d'artistes plasticiennes et plasticiens / Fraap - Grands Formats Les Allumés du Jazz Association Les Localos SMA - Syndicat des Musiques Actuelles THEMAA - Association Nationale des Théâtres de Marionnettes et des Arts Associés Réseau ZoneFranche •>> Lire le communiqué : https://lnkd.in/e4zgGqtd

"Il y a péril en la demeure." Cette phrase, tirée d'un article analysant la crise du secteur culturel au Québec, résonne avec une force particulière en France. Les constats dressés - précarité des artistes, insuffisance des financements, domination des plateformes numériques - sont autant de défis que nous partageons. Comme le souligne l'article, un sommet national est nécessaire pour aborder des sujets cruciaux : - L'ampleur, la prévisibilité et la distribution du financement public. - Les conditions de travail et la protection sociale des artistes. Il est impératif d'initier un dialogue constructif entre tous les acteurs concernés pour éviter l'effondrement d'un secteur essentiel à notre société. Inspirons-nous de cette initiative québécoise et agissons ensemble pour la culture en France. #audiovisuel #cinéma #madeinFrance #reglementation #politiquesculturelles

Culture : « Qui peut ignorer que la baisse des financements publics est une nouvelle victoire de la droite et de l’extrême droite ? » https://ift.tt/lJ5TNuZ Avons-nous bien mesuré la décision prise par le conseil régional des Pays de la Loire de diminuer drastiquement ses soutiens au secteur culturel et associatif, déjà imité par de nombreuses collectivités locales ? Et si nous avions assisté, dans un silence politique assourdissant, à la fin d’un pan entier de l’exception culturelle à la française ? Depuis plus de quarante ans, le spectacle vivant dans sa grande diversité s’est implanté sur les territoires et dans la vie des Français et des Françaises grâce à un consensus politique du local au national. Les scènes labellisées, les festivals, les espaces de création sont accompagnés conjointement par l’Etat et par les collectivités. Cet état de fait, qui s’appuie sur une logique de concertation (comité de pilotage, tour de table, conventionnement…), n’est pas seulement un mode de financement croisé : c’est une véritable garantie pour la liberté de création et de programmation. La sortie d’une région ou d’un département du financement d’un théâtre provoque, à court terme, des effets sur la richesse des programmations et sur l’emploi. En effet, un théâtre qui perd 10 % ou 20 % de budget ne peut défendre ni une baisse du nombre de levers de rideau avec une équipe identique, ni des équipes réduites avec un projet artistique maintenu. Ce qui sera attaqué en premier, à travers les suppressions d’emplois et la baisse du budget artistique, c’est une certaine idée de la mission de service public portée par ces conventionnements croisés : travail avec les habitants, tarifs adaptés, programmation en proximité, logique de coopérations territoriales… La place de l’art dans la vie des Français A moyen terme, les effets peuvent être délétères et bien plus profonds. D’une part, la droite semble avoir trouvé un « acte de virilité politique » qui paie électoralement, comme l’a bien décrit Daniel Pennac. Christelle Morançais, présidente de la région Pays de la Loire, a immédiatement été félicitée par sa nomination comme nouvelle vice-présidente du parti Horizons ! Elle indique avoir « brisé un tabou », et elle a sans doute raison. Il vous reste 62.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Résonable via Musiques : Toute l’actualité sur Le Monde.fr. https://ift.tt/0sxfjBP January 25, 2025 at 03:06PM