Post de duclos christian

#retail is local ! même avec le eCommerce, les 3 qualités d'un point de vente sont.... réponse auprès de mes alternants et anciens de DistriSup Management IAE Paris - Sorbonne Business School

On y retrouve toutes les composantes historiques.

une vraie carte des Territoires de la France

https://lnkd.in/ewWMJ8z2 Ce sondage donne une idée de l'avis dont les franciliens se font de leur région parisienne. L'Île-de-France est première région économique d'Europe. C'est le centre de tous les pouvoirs en France, politique à Paris, économique dans les Hauts-de-Seine et les Yvelines, principalement. Les opportunités sont là. Les offres d'emplois sont pléthoriques. Mais, il arrive que jeunes et moins jeunes ne soient pas assez formés ou leur formation ne corresponde pas aux besoins des entreprises. Le Grand Paris Express est le plus gros projet de transport actuellement dans le monde et améliore petit à petit l'accès à la périphérie de la capitale. Mais, le coût d'entretien des infrastructures montre sont âge sur les lignes RER et Trancilien et les travaux s'effectuent la nuit ou en été sur plusieurs années (ex: le programme "Castor" de rénovation des lignes au départ de Montparnasse est étalé jusqu'en 2037). L'insécurité est présente et ressentie, même en zone rurale bien que certaines villes comme Paris, St Denis, et autres banlieues concentrent le plus de délinquance. L'État, en quasi faillite budgétaire (hors hausse majeure d'impôts ou vraie politique de réduction des dépenses publiques), est dépassé pour régler le problème et se défosse sur les collectivités et les sociétés de transports publics pour accroître les dispositifs de sécurité. Hormis pendant les JOP, les effectifs et les moyens techniques sont insuffisants. 70% de l'Île-de-France est rurale, avec principalement des cultures céréalières, un peu de maraîchage, une once d'élevage et un des plus gros massifs forestiers de France métropolitaine. Elle dépendante des autres régions pour nourir sa population. Or, les ruraux vivent à l'ombre de la plus grande collectivité de l'UE, la Métropole du Grand Paris, invention administrative avec peu de prérogatives. Elle est en concurrence avec le Conseil régional et les autres communautés d'agglomération, dont certaines dépassent largement les 400 000 habitants, parfois autant que Lyon intra-muros et bien plus que la majorité des villes ou meme des départements de province. La région compte 13 millions d'habitants. La banlieue s'étend et la pression foncière ne baisse pas. Paris, malgré ses 2,1 millions d'habitants, en a perdu 200 000 en dix ans. La ville voit partir des familles avec enfants. Des écoles publiques ont fermé et la ville vieillit. Elle est endettée officiellement de 8,5 milliards d'euros (11,5 selon certains calculs et sans compter le fait que la droite avait laissé une réserve positive de 2,5 Mds). Mais, celà ne prend pas en compte les offices HLM et certains services publics assurés par des tiers pour le compte de la ville (contrairement à d'autres métropoles étrangères, elle est limitée en taille par le Périphérique, ne paie pas tous les policiers et ne finance qu'une partie minoritaire des transports publics). Malgré cela, la première municipalité de France a doublé ses effectifs: 57 000, le double de l'UE...

Italie, l'incitation fiscale pour revitaliser les zones sinistrées par des séismes. 📌 Une démarche à surveiller, l’Italie continue de chercher des solutions innovantes pour répondre au déclin démographique et à l’abandon de ses zones rurales. Une flat tax de 7 % pour les retraités vivant à l’étranger : c’est l’idée ambitieuse lancée par le gouvernement italien pour contrer le dépeuplement des zones frappées par les tremblements de terre de 2009 et 2016. Cette mesure, déjà en place depuis quelques années mais encore méconnue, vise à attirer des retraités italiens (et étrangers) dans les villages de l’Italie centrale – Ombrie, Marches, Abruzzes et Latium – ayant moins de 20 000 habitants. 📌 Un coup de pouce pour les villages sinistrés L’objectif est double : relancer l’attractivité de ces régions en difficulté et offrir un avantage fiscal conséquent aux retraités. En échange de leur installation dans l’un des 131 villages concernés, les bénéficiaires profitent d’une imposition réduite de 7 % sur l’ensemble de leurs revenus pendant dix ans. Pour être éligibles, les candidats doivent remplir deux conditions : percevoir une pension d’un organisme étranger et avoir vécu hors d’Italie pendant au moins cinq ans. Une fois ces critères remplis, ils peuvent s’installer dans une des communes touchées par les séismes et y établir leur résidence principale. 📌 Un succès timide mais prometteur À ce jour, environ 500 personnes ont adhéré à cette initiative, selon Guido Castelli, commissaire en charge des zones sinistrées de 2016. « La mesure reste largement méconnue, mais avec un effort collectif, nous pouvons multiplier ce chiffre », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. Le ministère des Affaires étrangères a également annoncé son soutien. Le vice-ministre Edmondo Cirielli a promis de promouvoir cette opportunité lors des événements culturels organisés dans les ambassades italiennes à travers le monde. « C’est une occasion unique de valoriser notre patrimoine et d’attirer des gens qui veulent s’intégrer dans ces régions magnifiques » 📌 Une ambition stratégique Bien que cette mesure ne suffira pas à elle seule à résoudre les défis démographiques de l’Italie centrale, elle constitue, selon Guido Castelli, une étape importante pour redonner vie à ces territoires marqués par les séismes. « Réactiver ces villages et utiliser toutes les ressources possibles pour les revitaliser est essentiel ».

Comment les nommer ? La province ? Trop parisien. Les territoires ? Trop marketé. Les régions ? Trop administratif. Les campagnes ? Trop champêtre. Et pourquoi pas les mondes ruraux ? Au pluriel. Comme autant de nuances. Plus question de parler pour eux. L’heure est à la mobilisation. Les mondes ruraux sont en mouvement. Déterminés à faire porter leurs voix, réclamer des moyens, mener leurs combats à bien. En un mot, élargir le champ des possibles. Au-delà des slogans de manifestation, des discours politiques et des flyers d’office de tourisme, nous avons donné la parole à celles et ceux qui vivent et travaillent dans les mondes ruraux. À celles et ceux qui veulent faire rimer terroir avec territoire, pour qui le combat prend fin ou au contraire ne fait que commencer. Nous avons arpenté leurs terres, terrains de conflits, de revendications, d'appartenance. Des espaces où l’isolement social et géographique n’empêche pas de faire front commun. Nous sommes allé·es à leur rencontre avec une ambition : donner à lire, à voir, à entendre ce qu’ils ont sur le cœur. Voies rapides, routes de montagne, sentiers forestiers… Des étudiant·es du Cuej en collaboration avec des étudiant·es en BUT MMI de l'Iut de Haguenau ont parcouru plus de 13 000 kilomètres et traversé 43 départements pour découvrir leur réalité. Leur ruralité. Retrouvez le webdocumentaire ici : https://lnkd.in/dne3Kf9i

[FRANCE-ITALIE] Participez à notre consultation de l’été ! Comment réduire l’« effet de frontière » entre les régions françaises et italiennes voisines ? Le projet ALCOTRAITÉ vise à améliorer votre quotidien. Comment ? En identifiant vos difficultés et toute sorte d’obstacles transfrontaliers (transports, services, travail, pratiques administratives…). Les cinq Régions alpines sont déterminées à trouver des solutions à ces « irritants du quotidien ». Et pour cela, nous avons besoin de vos retours d’expérience ! 👥 Qui peut participer ? Tous les habitants des régions à la frontière franco-italienne ! 🎯 Objectif : Grâce à cette enquête nous visons à identifier les obstacles à la coopération franco-italienne pour ensuite proposer des premières pistes de solutions pour améliorer votre quotidien. 📝 Comment ? Répondez à notre court questionnaire pendant l’été. Vos retours sont essentiels ! 🌟 Alors faites entendre votre voix 🌟c’est par ici : https://lnkd.in/eTm_zt6p #régionsud #marégionsud #France #Italie #Alcotraité

Où sont les Centrafricains ? 🇨🇫 C'est la question que je me suis posée lors de mon premier voyage à Bangui après 20 ans d'absence. Avec l'explosion des réseaux sociaux, la quantité de contenu de qualité provenant des pays d'Afrique francophone et anglophone a littéralement explosé. Pourtant, la République Centrafricaine reste quasiment invisible en ligne. Quelques vlogs ici et là, quelques secondes dans des vidéos du type « Je voyage dans les pays les plus dangereux au monde », et des centaines de reportages sur les crises qu’a connues notre pays. Voilà à quoi se limite la présence numérique de la RCA. Lors de mon court séjour, j’ai réalisé que la situation sur le terrain était bien moins dramatique que ce que les médias laissent entendre. Et, plus surprenant encore, je me suis rendu compte à quel point je connaissais mal mon propre pays. De retour, j'ai décidé de me plonger dans l'histoire et la richesse de la RCA, et de partager mes découvertes avec d'autres personnes de la diaspora, en particulier les jeunes. J’ai rapidement constaté une réelle demande d'en savoir plus sur la RCA, et un fort sentiment de nostalgie chez les plus âgés. C'est dans cet esprit que j’ai entrepris de créer un ebook pour encourager les gens à découvrir la RCA, à la voir sous un nouveau jour : une destination touristique riche en opportunités. Cet ouvrage met en lumière nos infrastructures touristiques et replace notre pays comme une destination où l'on peut passer des vacances, loin de l'image d’un séjour forcé ou ennuyeux chez la famille. Face à l'intérêt suscité par ce guide, j'ai décidé d'aller plus loin en proposant des solutions marketing aux infrastructures touristiques pour les aider à se promouvoir. Aujourd'hui, j'ai étendu ces offres à l'ensemble des entreprises centrafricaines afin de soutenir leur développement et accroître la visibilité de notre pays. Il est temps que la RCA brille sur la scène mondiale, et que les Centrafricains, où qu’ils soient, participent activement à ce renouveau. 🌍✨ POUR TELECHARGER LE GUIDE : https://lnkd.in/gvzQxTRZ

Il y a quelques années, j’apprenais au forum Convergences - 3Zéro que des populations entières devraient être déplacées face aux conséquences du dérèglement climatique, et que cela affecterait aussi nos régions. Aujourd’hui on voit la situation complexe des agriculteurs et la raréfaction de nos terroirs. 🚣♀️ Comment fait-on pour accueillir des millions de réfugiés climatiques ? 👩🍳 Comment fait-on pour nourrir des millions d’habitants ? Et si la réponse à ces deux questions était la même ? 🚨 Je suis surpris, et même effrayé de voir ces derniers mois, revenir dans les débats publiques, la lutte comme l’immigration, alors qu’on est bien content d’avoir des minorités ethniques dans la restauration, les services publiques et globalement tous les métiers en fait. 💸 A coté, les grandes villes ont déjà du mal à accueillir des milliers de personnes alors que des tas de logements sont inoccupés. On met en place des politiques couteuses et inefficace pour répondre à un besoin de travaille en ville tendant à la hausse de 50 à 70% d'ici quelques décennies. 🛒 Il faudra bien nourrir ces 50 millions de citadins. IMAGINE 2050 Et si les réfugiés pouvaient nous aider, dans les #campagnes, aider les #paysans en manque de main d’œuvre, avec la nourriture, la #logistique et la restauration de l’#environnement ? 🏞 💡 On a beaucoup parlé de #Neom et sa ville en ligne se basant sur un chemin de fer qui desservirait tous à 15 min à pied. Construire l’ensemble au milieu du désert est absurde en termes de ressources… Alors qu’en France, on a déjà un réseau ferré qui a été développé avant l’avènement du pétrole, avec des #cheminots fiers de leur savoir-faire et héritage technique. On a des voies qui vont jusqu’au cœur des campagnes, des villages de nos grands-parents et des terres cultivables de nos paysans. Beaucoup de villages et de gares ont été abandonnées aujourd’hui 🛤 Il ne reste plus qu’eux car ils ne peuvent pas vivre et travailler ailleurs. On a besoin des paysans, comme ils ont besoin de nous, besoin de SNCF Réseau, de commerces et de services publiques pour assurer leur #production et son transport jusqu’aux grandes villes. Elles pourraient d’ailleurs à l’inverse, se servir de ces villages comme zone de transit avec des hangars où le mètre carré est moins cher. Par exemple, en développant la ligne Clermont-Ferrand/Strasbourg/Paris, on couvre 15 Départements et 5.000 villes en restaurant les lignes centrales (objectif: vivre a 5 kms d'une gare 💪 ). Carte du réseau ferré: https://lnkd.in/gxyAkUD8 🚝 Une politique de #fret bas carbone, pourrait répondre aux enjeux du #climat tout en proposant un nouveau rythme de vie, la démocratisation d’un savoir-faire agricole et logistique, et même du #tourisme vert! En investissant dans des gares, c'est l'opportunité de rayonner pour des villages, leur vie active et l'incitation de grandes entreprises de se relocaliser, comme Odoo 👉 On s'y met?

Ce que David Leisterh veut dire, interviewé par Pauline Deglume et Mathieu Colleyn dans votre L'Echo de ce weekend, et je le rejoins sur ce point, c'est que la région bruxelloise doit enfin être accessible à tous. Elle ne peut prospérer sans le soutien et les ressources des citoyens venant de toutes les régions du pays, en commençant par le sud de Bruxelles, souvent sous-estimé car prétendument riche et, de facto, pas toujours considéré comme un électorat cible par le passé. Pourtant, les ressources du sud de Bruxelles sont indispensables (plus que jamais) pour nos commerces. J'apprécie également son ouverture d'esprit et son refus de "jeter le bébé avec l'eau du bain" en poursuivant la rénovation des quartiers, comme initiée par Pascal Smet, pour continuer le travail engagé et transformer nos quartiers en espaces de vie plus agréables. Par ailleurs, il propose de repenser la mobilité urbaine de manière plus souple, en la rendant plus fluide et en prévoyant des zones adaptées pour les piétons, les cyclistes et les voitures là où cela est approprié. Je suis convaincu qu'un terrain d'entente avec Elke Van den Brandt est possible, car initialement, tout le monde était d'accord sur le concept d'une ville plus sécurisante, apaisée et moins polluée. Comment ne pas être d'accord ? Cependant, il est crucial de résoudre les problèmes de mise en œuvre par les services de voirie, qui ont souvent été les principaux (ir)responsables des difficultés de mobilité. Après tout, ne voulons-nous pas tous un Bruxelles plus rayonnant et agréable à vivre pour tous ? J'espère enfin qu'Ahmed Laaouej, qui a recueilli le plus grand nombre de voix de préférence en région bruxelloise, assumera ses responsabilités avec la sagesse et la perspicacité qui le caractérisent. Il est crucial qu'il continue à défendre des politiques essentielles dans les domaines de l'emploi, de la cohésion sociale, de la réduction des inégalités et du logement social, notamment par la reconversion des bureaux, souvent vides depuis la généralisation du télétravail. Son soutien au tissu associatif et social, ainsi que le renforcement des services publics, est également indispensable. Tout cela est essentiel pour une vision globale et pour avancer rapidement vers une société plus juste et équitable. Restons positifs, il y a encore beaucoup de travail à accomplir. Allez les ami(e)s, Bruxelles a besoin de vos bonnes énergies ! Source : https://lnkd.in/ebQvruMv