💫 MAXIMA SE TRANSFORME ET DEVIENT MINIMA 💫 Depuis 2020, nous occupons un bâtiment de façon temporaire à Forest nommé « Maxima » qui héberge plus de 70 projets sociaux, artistiques, sportifs, et d’alimentation. Pendant quatre ans, nous avons expérimenté de nouvelles manières de travailler, mais aussi de vivre ensemble. Financièrement, nous avons été accompagnés par la Commune de Forest, propriétaire du bâtiment, dans le cadre d'un Contrat de Rénovation Urbaine. Aujourd’hui, l'enveloppe budgétaire de ce contrat arrive à son terme. Afin d’éviter la fermeture complète du lieu, il nous a fallu réinventer Maxima. C’est ainsi que Minima est née. Mais concrètement c’est quoi ? 🤔 ★ Une version réduite de Maxima, pensée pour être plus autogérée et viable financièrement. En janvier 2025, une partie des projets actuellement présents à Maxima quittera le lieu. Pour les autres, l'objectif sera à la fois d’aller un peu plus loin dans la gestion partagée du lieu mais aussi qu’iels puissent s'organiser concrètement pour pérenniser leurs activités et leurs projets. ★ Un lieu avec un accès au bâtiment plus restreint : Nous passerons d’un lieu semi-public avec une cour et une donnerie ouvertes à toutes et tous, à un espace plus fermé. L’accès sera désormais limité aux personnes travaillant sur place, participant aux activités ou utilisant les installations (comme le parking à vélos). ★ Des activités et des projets similaires : De nombreuses initiatives recevant du public continueront, telles que les cours de sport dans la salle Aquarium ou les activités des Shinobis Riders dans la grande verrière. L’espace artisan sera maintenu, tout comme le local des jeunes et un grand nombre d’autres projets associatifs comme Sharefood et les distributions alimentaires par exemple. Plus d'infos ici : https://lnkd.in/eP749cvs ! Bien que Maxima ne disparaisse pas complètement, nous devons malheureusement dire au revoir à plusieurs porteurs et porteuses de projets qui ont fait de ce lieu ce qu’il est aujourd’hui, ainsi qu’à la cour et à la donnerie, qui ont été de supers lieux de passage et de rencontres. 🎁 Nous tenions à remercier toutes les personnes qui ont, de près ou de loin, participé jusqu’à présent à l’existence de ce lieu hors norme, et dont on se souviendra longtemps : les habitant·es, voisin·es, porteur·euses de projet, pouvoirs subsidiants, passant·es. ou encore les habitué·es. C’est grâce à chacun et chacune d’entre vous que ce beau lieu a pris vie. 🧡 Continuez à nous suivre pour découvrir où nous mèneront les futures aventures de Minima... 🔎
Post de Communa ASBL
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#Martinique | Quoi de neuf dans la ville de Basse-Pointe ? L’équipe municipale a validé un plan pluriannuel d’investissements inédit avec une ambition claire : valoriser le patrimoine communal, répondre aux défis démographiques et environnementaux, et améliorer durablement la qualité de vie des habitants. 🏞 Située sur les flancs de la Montagne Pelée, Basse-Pointe (3 000 habitants) bénéficie d’un environnement exceptionnel, riche en ressources agricoles, maritimes, culturelles et patrimoniales. Face aux défis structurels du Nord de la Martinique, nous choisissons d'agir. 💡 Ce plan stratégique, réparti sur deux ans, repose sur plusieurs axes : 🏛 Patrimoine et histoire : mise en valeur des trésors historiques et patrimoniaux de la commune. 🏗 Aménagement urbain : réhabilitation des infrastructures avec une gestion intégrée des eaux pluviales, création d’un nouveau quartier (groupe scolaire, résidence pour séniors, crèche) et mise en place de la vidéoprotection. 🚲 Mobilités douces : développement de pistes cyclables et de déplacements durables. 🤝 Lien social et culture : espaces intergénérationnels, réhabilitation du stade municipal, extension de la médiathèque, création d'une épicerie solidaire. 🔑 Pour la première fois depuis deux mandats, un budget ambitieux est engagé. Avec le soutien de l'AFD, qui accompagne cette vision avec un crédit à taux d'intérêt préférentiel de 1,6 million d’euros, Basse-Pointe entre dans une nouvelle ère.
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🏠🤝 Vers un habitat inclusif et durable : un partenariat innovant ! La Caisse d'Epargne Hauts de France réaffirme son engagement en faveur d'un habitat inclusif et durable en s'associant à COLIVE, leader européen du coliving. Objectif : réinventer les espaces de vie pour les jeunes professionnels dans plusieurs métropoles européennes, alliant modernité, durabilité et esprit communautaire. Grâce sa foncière L'Etoile du Nord Foncière, la Caisse d'Epargne Hauts de France et Colive transforment des bâtiments sous-utilisés en espaces de coliving innovants, répondant aux besoins des jeunes générations. Un premier projet concret est en cours, transformant un bâtiment abandonné en un espace moderne, flexible et connecté. En tant que banque régionale certifiée B Corp, la Caisse d’Epargne Hauts de France incarne un modèle où performance économique et impact social positif cohabitent. Ce partenariat illustre son engagement à faire de l’immobilier urbain un levier d'innovation sociale et environnementale. 🔗https://lnkd.in/eQb4vaBD
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❓ A partir de quand peut-on qualifier un projet d'aménagement d'exemplaire ? Prenons l'exemple du projet urbain des 4 Cantons à Anglet, actuellement soumis à enquête publique. Le terrain à revaloriser est une friche publique artificialisée de 2,1 ha. Ce terrain est un espace rare en ville. Une pépite. Mais alors que faire de cette rareté à l'heure du changement climatique et des contraintes de plus en plus fortes sur le foncier ? Le maire d'Anglet dit souhaiter réaliser un projet exemplaire. Mais quelle est la définition de l'exemplarité ? Selon moi, être exemplaire dans un projet d'aménagement, c'est faire tout son possible pour assurer à la population des lieux de vie vivants, vivables et résilients. C'est construire un projet de quartier, recréant des espaces communs de respiration et des besoins quotidien. Pour réduire la dépendance à la voiture et créer du lien. C'est savoir construire des logements et ne pas construire, pour redonner une vraie place au vivant en ville. C'est réaliser une opération immobilière tout en conservant le terrain public. C'est réinterroger la politique du "tout-construire" face à la question sensible du logement. C'est de porter des projets d'intérêt général. Est-ce que l'enquête publique permettra de donner sa place à cette vision de l'exemplarité ? Affaire à suivre !
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🏠 Les ateliers du logement : lancement du premier atelier ! Le 15 mars dernier, Michaël Delafosse, Maire de Montpellier et Président de Montpellier Méditerranée Métropole, a confié au groupe Altémed une mission de 3 mois, afin de faire émerger des propositions et solutions concrètes dans un contexte de crise du logement. Ces ateliers, organisés par Altémed, rassembleront tous les acteurs du logement pour définir un "modèle montpelliérain". Divisés en 7 groupes de travail, ils aborderont des questions cruciales telles que les besoins du territoire, la création de logements abordables et la transition écologique. Les propositions issues de ces ateliers visent à mettre en place des mesures immédiates à Montpellier et à renforcer ce modèle, soumises ensuite à un comité national pour d'éventuelles modifications législatives et réglementaires. 7 ateliers du logement ont donc été définis autour de 7 questions concrètes. 💡 Le premier atelier s'est déroulé ce vendredi 5 avril autour de la question suivante : Comment produire des logements plus attractifs en maîtrisant leur coût ? Les 26 participants en présentiel et visio ont pu déterminer les premières thématiques après une présentation de Cédric GRAIL, Directeur Général d’Altémed, sur les grands enjeux de cette démarche. Des échanges animés ont démontré l’engagement de tous dans cette démarche volontaire. Le prochain atelier aura lieu le vendredi 25 avril 2024.
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🏡 SÉRIE "VILLES EN MOUVEMENT" EP.3 | Village durable de demain à Éveux Chaque mois, nous mettons en lumière un projet inspirant qui illustre les initiatives locales pour se redynamiser et s'engager dans la transition écologique. 👋 Bienvenue dans notre série #VillesEnMouvement et voici l'épisode 3 ! Le village d'Éveux (Rhône) cherche à se revitaliser autour d’infrastructures (logements, commerces, …) adaptées à toutes les générations et d’une redynamisation de son centre-bourg. L’amélioration de la vie de quartier et le développement des modes doux sont également au cœur du projet. Pour répondre à ces ambitions, Éveux bénéficie de l’accompagnement de setec organisation dans le cadre du programme "Village d’avenir" de l’ANCTerritoires. Nous avons travaillé étroitement avec les acteurs locaux pour définir les grandes lignes du village durable de demain, notamment la requalification de la place centrale du village. Notre équipe a conduit plusieurs étapes essentielles : 🔎 Prise de connaissance du contexte et des enjeux urbains 🌱 Atelier participatif "Village de demain" avec l’envie des habitants de développer les modes actifs, améliorer les liaisons avec la gare et les villages alentours de la commune, réhabiliter les bâtiments communaux et développer un cœur de village animé. 🌳 Atelier participatif sur l’aménagement de la place centrale pour définir et hiérarchiser des orientations, comme la végétalisation, la création d’une halle couverte pour les associations et les événements, la sécurisation des espaces pour les enfants et la limitation du stationnement. 📋 Synthèse et programmation : élaboration de fiches actions pour concrétiser ces objectifs de revitalisation. À Éveux, l’équipe a en particulier apprécié la mobilisation soutenue (plus de 10% de la population) avec des représentants de tous les âges ! Prévoir des aménagements attirants les jeunes publics, des habitats adaptés aux seniors et des espaces de rencontres intergénérationnelles nous parait en effet un facteur déterminant dans la revitalisation des territoires ruraux auquel nous sommes fières de participer. #VillageDurable #VillagedAvenir #TransitionEcologique
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Une approche utile du Département de l’Ain qui montre l’exemple aux collectivités du territoire. Pour faire mieux avec le foncier déjà affecté au bâti avant s’ouvrir de nouvelles zones à l’urbanisation, des solutions existent. Le plus insupportable pour la population étant de déclasser d’anciennes zones constructibles pour en créer de nouvelles. Si de telles décisions sont parfois inévitables, elles devraient être exceptionnelles.
L’#Ain optimise son #patrimoine. Réhabiliter et valoriser des sites dont les #habitants pourront profiter, telle est l’ambition claire du Conseil départemental de l'Ain. « J’aime beaucoup #bâtir. Mais de façon intelligente. En rénovant, en réhabilitant et en utilisant le foncier existant. Occuper des #friches, c’est dans l’air du temps et, à mon avis, ce sont des investissements bien placés. C’est aussi redonner de la vie là où il n’y en a plus et faire en sorte que tout soit beaucoup plus fonctionnel », soulignait Jean Deguerry, président du Département de l'Ain lors d’une visite de terrain organisée le 17 avril dernier, autour des projets burgiens, en cours et à venir, portés par la collectivité. Acteur à part entière de l’aménagement urbain et du cadre de vie, le Conseil départemental souhaite léguer, aux habitants du territoire, un patrimoine et des sites valorisés que chacun pourra se réapproprier. Il travaille notamment à la réhabilitation de l’ancienne brasserie de Bourg-en-Bresse, aujourd’hui friche urbaine, pour lui donner de nouvelles perspectives économiques durables. Construite en 1920, c’est un site emblématique du passé industriel local. Elle a accueilli l’usine Radior et sa production de machines à écrire, de machines à coudre, de cycles et d’engins agricoles, avant de connaître une reconversion à la fin des années 1950 en usine d’embouteillage de bières. En pleine mutation Rachetée en 1986 par le Département, l’ancienne #brasserie abrite aujourd’hui des collections des musées départementaux. Afin de définir l’avenir de ce site qu’il prévoit de céder, le Conseil départemental lance un appel à projets qui sera mené, avec ses partenaires et Bourg-en-Bresse. Les élus départementaux insistent sur un impératif : être respectueux de ce patrimoine « et faire en sorte qu’il soit réapproprié par les habitants du territoire, mais aussi par les acteurs économiques et culturels. Il peut y avoir des activités très valorisantes sur ce tènement situé dans un secteur en pleine mutation ; dans le quartier rénové du Pont de Lyon, à proximité immédiate du pôle d’échanges multimodal. Ce n’est pas un projet budgétaire », ajoute Pierre LURIN. « Ce site est aussi un trait d’union entre Péronnas et Bourg-en-Bresse, complète Hélène Cédileau, vice-présidente départementale déléguée aux ressources humaines et aux sports. Cela va dans le sens de... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dQbY5DEx
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A t-on vraiment besoin d'exemplarité pour que s'exprime le bon sens pragmatique face à l'urgence d'un changement de paradigme plus que d'un bouleversement climatique naturel accéléré ou non dont les scientifiques du monde entier nous annoncent l'existence depuis plus de 30 ans. Nous ne pouvons pas dire que nous n'étions pas informés puisque dès le début des années 1970, puis ouvertement sur la fin en 1979, Haroun TAZIEFF (https://lnkd.in/esa-pB5y) ou le Pr René PASSET (https://lnkd.in/dWpy7XP6) nous alertaient déjà sur la nécessité de changer notre vision du monde en rapport avec le réel. Basculer de la notion d'économie Du Râble (qui se fait sur le dos de l'Humain et de la Nature) à la connexion au Vivant est probablement la meilleure chose à faire. Nous sommes nous tant éloignés de l'essentiel (ce que l'épisode furtif du Covid 19 déjà largement oublié nous avait pourtant tristement rappelé) que nous ayons tant besoin de savoir d'où l'on vient. Pour commencer, il est indispensable de chiffrer des objectifs précis pour des aménagements d'avenir qui doivent s'imposer à tous ceux qui n'ont de bon sens que la rentabilité financière au détriment de l'espace vital et du droit fondamental de chacun à pouvoir vivre dans un environnement équilibré et respectueux de sa santé. 1. Penser l'intégration de l'architecture sans détruire systématiquement le vivant avec un diagnostique de la biodiversité existante. 2. Conserver le maximum d'arbres de plus de 30 ans, c'est à dire ceux qui produisent le plus de bénéfices écologiques immédiats. 3. Maintenir un taux de végétalisation d'au moins 50% de l'espace naturel initial plutôt que la logique débile d'un arbre de haute tige pour 100 m² de l'espace libre résultant du projet de construction une fois tout l'espace naturel détruit. 4. Effectuer un bilan carbone de la construction (création de CO2) pour mettre en perspective l'ampleur du désastre écologique (exemple : la création d'un petit immeuble de 7 logements neufs en centre ville (dans un cube de 12 m de côté) engendrera dans sa structure principale en béton l'équivalent d'un volume de CO2 qui pourra être absorbé par le fonctionnement de 10 000 arbres matures pendant 6 mois). 5. Privilégier le ré-emploi des matériaux. 6. Respecter la continuité écologique localement et de proximité à l'identique pour un équilibre quartier par quartier, plutôt que le pas de quartier pour le végétal et la pseudo compensation illusoire pour les nuls. 7. Punir fermement ceux qui détruisent la vie des autres avec un châtiment exemplaire, plutôt que de désavouer devant les tribunaux administratifs ceux qui tentent de défendre leur habitat naturel source de bien-être et de santé. En d'autres termes, c'est manifestement un virage d'inversion complète de nos approches qu'il convient d'opérer si nous ne voulons pas finir dans le décor.
Consultante en résilience des territoires | Fondatrice Vue d'Ensemble @vuedensemble_territoires | Ex Pour Un Réveil Ecologique | TEDx Talk
❓ A partir de quand peut-on qualifier un projet d'aménagement d'exemplaire ? Prenons l'exemple du projet urbain des 4 Cantons à Anglet, actuellement soumis à enquête publique. Le terrain à revaloriser est une friche publique artificialisée de 2,1 ha. Ce terrain est un espace rare en ville. Une pépite. Mais alors que faire de cette rareté à l'heure du changement climatique et des contraintes de plus en plus fortes sur le foncier ? Le maire d'Anglet dit souhaiter réaliser un projet exemplaire. Mais quelle est la définition de l'exemplarité ? Selon moi, être exemplaire dans un projet d'aménagement, c'est faire tout son possible pour assurer à la population des lieux de vie vivants, vivables et résilients. C'est construire un projet de quartier, recréant des espaces communs de respiration et des besoins quotidien. Pour réduire la dépendance à la voiture et créer du lien. C'est savoir construire des logements et ne pas construire, pour redonner une vraie place au vivant en ville. C'est réaliser une opération immobilière tout en conservant le terrain public. C'est réinterroger la politique du "tout-construire" face à la question sensible du logement. C'est de porter des projets d'intérêt général. Est-ce que l'enquête publique permettra de donner sa place à cette vision de l'exemplarité ? Affaire à suivre !
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Cette semaine, nous avons inauguré le café intergénérationnel à deux pas de la Cité Jardin de Gerland. Nous avons également présenté devant la presse nos engagements pour ce quartier majeur. Un café intergénérationnel et un lieu dédié aux associations marquent la première étape. Ce n’est pas un détail. Le rôle du Centre social de Gerland y est majeur. Ici, les associations vont pouvoir agir. Ici, les personnes vont pouvoir se rencontrer. Bravo à la Ville de Lyon pour son initiative en matière de budget participatif qui a permis ce projet. Bravo aux habitantes et habitants d’avoir choisi d'en faire une priorité. La Cité Jardin a 100 ans. Voulue par Edouard Herriot, la Cité Jardin souhaitait offrir un logement décent et un accès aux jardins aux ouvriers de Gerland. Agir 100 ans après nécessite d’en conserver l’esprit. Nous devons proposer une réhabilitation qui permette aux habitants et habitantes qui le souhaitent de rester. Quatre priorités guideront notre action dans les années qui viennent : - une priorité en matière de logements : 549 logements à réhabiliter et transformer, une pension de famille pour les personnes seules, des logements en Bail Réel Solidaire pour permettre un accès la propriété à celles et ceux qui le souhaitent et également des logements étudiants au cœur de Gerland. - des actions d’aménagement avec une voirie nouvelle traversant la Cité jardin, un parc – le parc du château des mères – de plus de 14 000 m2 ouvert sur la Cité Jardin qui redonnera l’esprit initial à ce quartier. - un accès aux services pour plus de solidarité avec la création d’une maison de santé au cœur de la Cité Jardin, de locaux d'activité en rez de chaussée. - un enjeu de sécurité qui mobilisera tous les acteurs, des forces de l’ordre aux aménageurs. La Cité Jardin a 100 ans. Avec la Ville de Lyon, GrandLyon Habitat, la Métropole de Lyon agit pour lui redonner une nouvelle vie.
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👫 Budget participatif 💶 5️⃣ Cinquième projet : rénovation des 18 pistes du Minigolf Namurois 💪 L’objectif : rénover toutes les pistes en enlevant le tapis et en le remplaçant par un bêton quartzé pour une durabilité à très long terme. ℹ Le minigolf Namurois à rouvert ses portes en avril 2021 suite à une fermeture de plusieurs années. Les 18 pistes tapis sont fort endommagées suite à plusieurs hivers sans aucun entretien. Le parcours est ouvert à tous de 5 à 99 ans. Il est également ouvert aux groupes de personnes porteuses d’un handicap. ✅ Le but est aussi de promouvoir des rencontres intergénérationnelles entre tous les milieux sociaux. Cela concerne les personnes habitants Namur et les environs, ainsi que les touristes du Benelux, d’Allemagne et d’autres pays. 👉 Retrouvez le projet complet ici : https://lnkd.in/eWyfmR8i 6️⃣ Sixième projet : Collecte à vélo des déchets verts dans la commune de Bothey. 💪 L’objectif : Créer une rencontre conviviale et dynamique, un lieu d’échanges et de partages démystifiant le handicap. Le tout en favorisant le circuit court, de la terre à l’assiette, en proposant une alimentation saine et durable. ℹ Home Le Foyer, à Bothey, accueille 60 personnes en situation de handicap. Dans ce village, il n’existe aucun commerce, ni place publique où les citoyens peuvent se rassembler, hormis à l’église. Depuis 3 ans, une nouvelle dynamique inclusive s’est enclenchée. Les résidents vont distribuer de la soupe aux enfants de l’école de Tongrinne, ce qui instaure un vivre ensemble positif. Il y a un désir de développer davantage ce projet en proposant aux voisins de collecter leurs déchets avec des vélos- cargo adaptés afin de nourrir la serre. ✅ Dans un premier temps, les résidents et les habitants de Bothey bénéficieraient de ce projet. 👉 Retrouvez le projet complet ici : https://lnkd.in/enNwwqNd
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DEBUNK Saint-Genis Info 4/4 Comme déjà évoqué hier, Oui à un avenir durable pour notre ville pour toute la population, mais pas juste de la #communication, les saint-genois.es veulent de vrais investissements 💰 en lien avec les compétences de la commune. Quelles sont les compétences communales pour lesquelles la Ville de Saint-Genis-Laval peut agir et investir pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre ? Principalement sur son patrimoine 🌳 Patrimoine naturel => en végétalisant pour rafraichir la ville et contribuer à capturer le CO² par la plantation d'arbres et arbustes 🏫 Patrimoine bâti => là où sont les leviers les plus massifs, en investissant fortement on limite ses émissions et on réduit 📉 ses consommations d'énergie⚡🔥 et ses factures Que fait notre ville pilotée par la majorité actuelle Aimer Saint-Genis ? ❌ Elle végétalise les cours d'école, c'est le bon point, mais elle ne l'a pas fait pour toutes ses écoles ❌Elle participe au financement de l'aménagement du parc du Vallon, mais le plus gros du financement vient de la Métropole de Lyon ❌Elle finalise après bien des années le projet de rénovation du mandat précédent du Centre Social des Barolles ❌Elle préfère investir dans la rénovation de la chapelle de Beaunant ⛪ inoccupée, que dans son patrimoine occupée ❌Elle abandonne son projet ambitieux sur le restaurant 🍽️ scolaire Mouton au profit de modulaires ❌Elle met une toute petite enveloppe budgétaire sur la rénovation de l'école 🏫 Albert Mouton ❌Création de nouveaux terrains de tennis 🎾 pourtant peu nécessaires ❌Désengagement auprès de plusieurs associations occupant des locaux propriétés de la ville ❌Nouvelle ouverture de crédits pour la Maison Ricard autre patrimoine inutilisée de la ville ❌Réhabilitation de salles au fort de côte Lorette pour en faire des espaces de stockage pour les associations ❌Végétalisation très tardive dans le mandat et vraiment pas à la hauteur des enjeux, encore plus au regard des investissements consentis par la Métropole en la matière Et pendant ce temps nos #écoles et gymnases qui sont des services publics de proximité, utilisées quasi quotidiennement, rien ou presque pour abaisser fortement leurs consommations d'énergie. Rien non plus pour nos 2️⃣ foyers de personnes âgées pour améliorer l'isolation et le confort de nos anciens. Non, notre ville ne doit pas devenir une ville musée où l'on n'investit que sur le patrimoine ancien. Non, notre ville ne doit pas devenir une ville dortoir, où l'activité économique abandonne le centre-ville au profit de ses périphéries. Halte à la communication, notre ville a un avenir, alors relevons les manches et ayons de vraies ambitions, mais certainement pas avec l'équipe actuelle à la tête de la ville Bien plus avec l'équipe de La Citoyenne - Saint Genis Laval https://lnkd.in/dwSWUUck
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