PNY

CDI RESPONSABLE ADMINISTRATIF On recherche la future pépite pour soutenir le Groupe PNY dans la gestion quotidienne et devenir le(la) référent(e) administratif(ve). Les détails du poste sont ci-dessous. See you soon ! 🚀

Si toi aussi tu cherches une salle privatisable sur Paname pour réfléchir au sens de la vie, tu peux nous contacter sur 911@pnyburger.com

Pourquoi c’est si important d’aller au restaurant ? N’ayons pas peur des mots :) Plaidoirie pour ma paroisse. Parce que mille likes ne valent pas une bise. Parce qu’aucun emoji ne peut saisir toutes les nuances de notre humanité. Parce que c’est plus difficile de se parler « en vrai ». Parce que, pour s’aimer, il faut se regarder dans les yeux. Parce que les meilleures vannes sortent de la magie de l’instant. Parce qu’aller à la rencontre physique de l’autre, ça éclate les bulles et les convictions. Parce qu’il faut attendre le fromage pour parler business. Parce que les gossips de tes potes qui chillent en terrasse (« mais nan, c’est pas vrai ?! »), ça vaut toutes les intrigues d’inconnus sur Netflix. Parce que, il y a 5 ans, quasi jour pour jour, on confinait le pays, et qu’on a vécu, dans la vraie vie, ce que ça donnait de ne plus pouvoir se voir. Parce qu’il faut se voir pour refaire le monde. Parce que le monde n’a jamais eu autant besoin d’être refait. En image, la vie en 32k. _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles (🔔).

Qui a dit qu’on ne pouvait spin-off qu’une start-up tech ? 😏 Je vous présente : studio Nightflight - https://lnkd.in/egapwzaT Je le fais parce que, sinon, Rudy ne le fera jamais. Pour vous dire, il ne m’a même pas dit qu’il avait été sélectionné dans le mythique AD100 (oui oui, AD comme dans AD magazine). Certainement de peur que, fière comme un coq, je le crie sur tous les toits… 😇 Je me rappelle de ce jour où il me demande : « tu serais d’accord si je dessinais le prochain PNY ? ». Ca arrivait comme une telle évidence que j’aurais pu être celle qui lui pose la question : « tu ne voudrais pas dessiner le prochain PNY ? ». Il faut dire que je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui a fait du « point de contact client » une telle obsession. Ni quelqu’un qui mette autant de profondeur sur chaque détail : « alors cette enceinte a été designée par XXX à l’occasion de XXX et là ce qui est fou, c’est que c’est la version XXX ». Bon, ok, je l’imite hyper mal mais vous voyez l’idée :) Et encore, je ne vous ai pas raconté à quel point le son et la lumière lui accrochent les tripes. A force de l’entendre dire « on n’est pas dans un franprix ici », maintenant, c’est le staff lui-même qui le dit au petit nouveau qui aurait oublié de tamiser la lumière. Puis, de fil en aiguille, arriva ce qui devait arriver quand on met autant de passion et d’énergie dans son travail : le premier appel d’un client extérieur pour qu’il lui dessine son resto. S’il y a bien quelque chose qu’on nous a appris à l’Ecole, c’est de ne jamais refuser du business qui rentre tout seul. Alors un projet après l’autre, s’est dessiné l’idée d’ouvrir un studio. Et c’est ainsi qu’il me montra qu’on peut avoir plusieurs vies dans une vie. En image, oui, il a un petit kink chaises. _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin (🔔).

« Bonjour, je suis journaliste chez M6, est-ce que je peux parler à la bonne personne chez vous pour réaliser un reportage ? » … « Bonjour, vous souhaitiez me parler ? - Oui, nous réalisons un documentaire sur le burger et nous avons pensé que ça serait pertinent que vous y figuriez. Est-ce que ça vous dit ? - Ah bah carrément ! Vous avez choisi quel angle ? - La premiumisation du burger. - Vous êtes au courant que c’était il y a douze ans ? 😂 » Je vous rassure, elle était évidemment au courant. Et visiblement elle connaît bien mieux son métier que moi puisque le doc a été accueilli à bras ouverts :) Donc si tu veux me voir porter un cageot de légumes frais alors que je ne l’ai plus fait depuis 2017, marcher comme si la rue de la Gaité était le dernier catwalk Jacquemus ou découvrir « les coulisses du prochain burger en préparation » chez PNY (ping Jean-Baptiste), c’est par ici que ça se passe : https://lnkd.in/ejzEUkBr Blague à part, je suis toujours aussi impressionnée par l’impact de la TV. Le soir de la diffusion, mon téléphone n’a cessé de vibrer (« on vient de te voir sur M6 ! » de la part de potes de tous bords) et les restos ont eu un petit coup de chaud. Je me suis demandé ce qui faisait que ce dinosaure ne s’était pas fait emporter par les météorites du Net (Youtube, tiktok et autre Netflix). Ils ont pourtant tout pour rafler la mise : le choix, la liberté, la qualité. Et c’est en appelant ma mère le lendemain que j’ai capté (oui, je l’appelle tous les jours🐣) : « j’étais super fière de te voir à la TV mais tu sais ce qui m’a mis la larme à l’oeil ? C’est la joie de ta tante qui m’a appelé pour me dire qu’elle t’avait vue aussi. » C’est donc ça l’imparable secret du dinosaure : permettre aux gens de vivre la même chose, au même moment. _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin (🔔).

Après 4 407 jours d’ouverture, Après quelques fermetures administratives pour contenir notre joie (un peu trop) débordante, Après près d’un million de « et votre viande, vous la préférez saignante, à point ou bien cuite ? », Après tout ce qui peut arriver dans la rue la plus sulfureuse de Paris a.k.a. FSD (🤐), Après 2 mariages et un bébé, Après tout ce qui a pu nous passer par la tête (Deleuze dans les WC ? une poupée gonflable en guise de Père Noël ? autoriser les enfants à passer en cuisine ?), Après avoir servi tout le gratin à en faire halluciner le staff parce que je ne reconnaissais personne (non même pas Seydoux, dont seul l’intensité du regard m’a fait me dire que ça devait être « qqun »), Après avoir normalisé qu’un burger bah ça peut se manger aussi bien avec les doigts qu’avec des couverts et un verre de vin, Après avoir vu défiler le staff le plus cool de Paname et leurs clients les plus chéris, Ce cher PNY, mon petit FSD, là où tout a commencé, ferme ses portes qq mois pour se refaire une beauté. Il faut dire que 12 ans de bons et loyaux services, et autant d’histoires, ça use. Ca n’a l’air de rien comme ça, qq mois de fermeture. Et pourtant. 🥹 En image, ce phare dans la nuit. _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin (🔔).

Noël approche à grands pas, c’est le moment de se faire bien voir par l’Univers. Sait-on jamais. Je me souviens de nos débuts, où nous cherchions à rencontrer la terre entière pour apprendre de ceux qui l’avaient déjà fait. C’est si engageant d’ouvrir un restaurant. Le moindre POC, c’est tout de suite des centaines de milliers d’euros sur la table. Alors ça nous a fait du bien de parler à des personnes qui montraient que c’était possible (voire que c’était kiffant, les insensés 🫢). Ces souvenirs font qu’évidemment je veux rendre la pareille (Univers, prends note stp 😇). Or, le temps est un maître impitoyable : plus tu en as besoin, plus il te file entre les doigts. En réfléchissant à comment concilier l’envie d’aider ces personnes et un agenda qui refuse toute négociation, j’ai eu l’idée de m’enregistrer. Alors, j’ai contacté Yassir Kabori du Le mot de la Faim - le Podcast pour qu’il m’enregistre en se mettant à la place de qqun qui aimerait ouvrir son premier restaurant. Il a accepté de le faire et ici, le résultat : https://bit.ly/4027cRn On est loin du MOOC mais c’est un bon équivalent d’un premier rendez-vous. Grâce à lui, je pourrais donc fwd ce post à tous ceux qui me contacteront à partir de maintenant et ainsi, être à jamais indélicate à leurs yeux :) Merci Yassir pour ton temps et, à vous qui venez de m’écrire, je vous présente par avance mes excuses pour cette indélicatesse. Et à vous qui me lisez, je vous souhaite un bien Joyeux Noël🎄 En image, à quoi bon prompter sur Midjourney quand tu peux te faire passer pr Halle Berry (😁). _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin.

« Mais pourquoi vous vous prenez la tête à faire des restaurants différents ? » Comme dirait Rudy, quand on fait quelque chose qui nous passionne, on ne se rend pas compte que c’est difficile. Encore moins que c’est fou. Il faut savoir qu’au départ, on voulait juste ouvrir un restaurant. Qui fasse venir tout Paris, certes, mais juste un seul restaurant. Puis, il y a eu tellement de monde que nous n’avions pas d’autre choix que d’en ouvrir un deuxième si on voulait bien servir tout le monde. Sauf que… on avait une peur bleue de « la chaîne » 😅 On se dit que ce n’est pas sans raison qu’il n’y en a aucune dans Le Fooding. Dans notre tête, en gros : Indépendant passionné > chaîne commerciale > indépendant qui a perdu la foi. Le défi est posé : comment faire comprendre au client que ce n’est pas parce qu’on ouvre un deuxième restaurant qu’on ne sera plus cet indépendant passionné ? D’ailleurs, est-ce que c’est même possible de mettre toutes ses tripes dans un deuxième restaurant alors qu’on les a déjà mises dans un premier ? (#questiontautologique) Très vite, imaginer un nouveau décor devient une évidence. Imaginer un nouveau logo aussi. Mais le plus dur, c’est la vibe. C’est à ce moment-là qu’on décide de s’effacer pour laisser le staff prendre les devants. On lui insuffle cette indépendance et cette autonomie qu’on lui connaît aujourd’hui encore. On peut se le dire maintenant : si chacune de nos équipes n’avait pas incarné son PNY, la magie aurait fini par disparaître. Au final, le premier PNY qu’on a ouvert, c’était simplement notre restaurant. Le deuxième, lui, sera notre concept : une chaîne d’indépendants passionnés. En image, notre folie à nous :) _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin.

Tu t’es déjà demandé quelle était la mission de ta boîte ? Genre la vraie, pas celle qui fait bien dans un rapport d’activité annuel. Celle qui fait que cette entreprise existe encore et qui, dans le fond, fait que tu y es encore. Je te pose la question parce qu’elle m’a été posée récemment. J’ai machinalement répondu que c’est « essayer de servir les meilleurs burgers de la planète ». Ce à quoi il m’a demandé, et à juste titre, « ça veut dire quoi meilleur ? ». Le reloud 🫠 Mec, j’avais un combo Baileys + Get + Cerise à goûter. Mais l’apéro attendra. La question avait fusé dans ma tête. Je devais y répondre. Je n’ai pas encore bien les mots mais ça tourne autour de « sans compromis », « sans masque » et « sans Dieu ni maître ». Sans compromis parce que, chez PNY, on ne s’est jamais facilité la tâche si ça impliquait la plus petite déperdition dans cette quête du meilleur. On continue à couper nos pommes de terre le matin, à presser les citrons de nos citronnades, à écrire nos textes à la main, à dessiner nos chaises au crayon - et Dieu sait que tout ça est sous-traitable. Sans masque parce que, chez PNY, c’est venez comme vous êtes évidemment pour le client mais aussi pour le staff. On recrute des amoureux de l’hospitalité et on les laisse faire ce qu’ils savent faire mieux que personne. Sans Dieu ni maître parce que, chez PNY, on trace notre propre voie. Pas celle qui fait bien, pas celle qui devrait être, pas celle qui doit ressembler aux autres : celle qu’on a décidée. C’est ce cocktail, au dosage hyper précis, qui nous enivre à la folie nécessaire pour accomplir notre mission. En image, le contexte feutré dans lequel la question m’a été posée. _ PS : j’écris pour me souvenir que la vie est un jeu dont nous pouvons changer les règles. Je ne sais pas où tout ça va nous mener mais, si toi aussi, tu vibres à l’idée d’être libre, tu peux suivre mes pérégrinations ici, sur Linkedin.

Qui a dit qu’un burger ne méritait pas des bougies ? Si toi aussi, tu veux privatiser notre salle des Marquises à Paris, tu peux nous DM.