Dares - ministère du Travail

📰 Publication du rapport final du comité d’évaluation sur la Réforme de l’assurance chômage 2019-2021 Le comité d’évaluation de la réforme 2019-2021 de l’assurance chômage, présidé par Rafael Lalive, professeur d’économie à l’Université de Lausanne, publie son rapport final aujourd’hui, après plus de deux ans de travaux associant équipes de recherche, administrations et services de l’UNEDIC. Mise en place progressivement entre 2019 et 2021, la réforme avait pour objectif d’encourager le retour à l’emploi, en particulier vers l’emploi durable, dans un contexte marqué par des difficultés de recrutement importantes et des recours fréquents aux contrats courts dans certains secteurs. Elle comprend plusieurs mesures touchant à la fois l’indemnisation des demandeurs d’emploi et les contributions versées par les employeurs. 🔎 Quels sont les grands enseignements du rapport final ? ▪️ Les mesures portant sur l’indemnisation (salaire journalier de référence, condition d’affiliation minimale, dégressivité) ont accéléré le retour à l’emploi des demandeurs d’emploi ; ▪️ En revanche elles n’ont pas modifié la durée des emplois repris : les réformes du salaire journalier de référence et de la condition minimale d’affiliation n’ont pas provoqué d’allongement de la durée des contrats. La mesure de dégressivité, qui porte sur un public bien inséré sur le marché du travail et bien rémunéré, n’a pas dégradé les caractéristiques des emplois retrouvés, qui restent majoritairement des CDI ; ▪️ Le bonus-malus pour les entreprises de certains secteurs a allongé la durée des contrats, sans effet mesurable sur le niveau d’emploi ; ▪️ Une compréhension partielle des règles par les entreprises et allocataires semble avoir limité certains effets attendus : une partie des acteurs interrogés dans les travaux qualitatifs ont une compréhension imparfaite des mesures, voire une méconnaissance des règles de l’assurance chômage. Consultez les détails du rapport sur le site de la Dares ⤵️ https://lnkd.in/e6EBhqf4 Cnam CREDOC INRAE Institut des Politiques Publiques Université Paris Cité

📰 Publication du rapport final du comité d’évaluation sur la Réforme de l’assurance chômage 2019-2021 Le comité d’évaluation de la réforme 2019-2021 de l’assurance chômage, présidé par Rafael Lalive, professeur d’économie à l’Université de Lausanne, publie son rapport final aujourd’hui, après plus de deux ans de travaux associant équipes de recherche, administrations et services de l’UNEDIC. Mise en place progressivement entre 2019 et 2021, la réforme avait pour objectif d’encourager le retour à l’emploi, en particulier vers l’emploi durable, dans un contexte marqué par des difficultés de recrutement importantes et des recours fréquents aux contrats courts dans certains secteurs. Elle comprend plusieurs mesures touchant à la fois l’indemnisation des demandeurs d’emploi et les contributions versées par les employeurs. 🔎 Quels sont les grands enseignements du rapport final ? ▪️ Les mesures portant sur l’indemnisation (salaire journalier de référence, condition d’affiliation minimale, dégressivité) ont accéléré le retour à l’emploi des demandeurs d’emploi ; ▪️ En revanche elles n’ont pas modifié la durée des emplois repris : les réformes du salaire journalier de référence et de la condition minimale d’affiliation n’ont pas provoqué d’allongement de la durée des contrats. La mesure de dégressivité, qui porte sur un public bien inséré sur le marché du travail et bien rémunéré, n’a pas dégradé les caractéristiques des emplois retrouvés, qui restent majoritairement des CDI ; ▪️ Le bonus-malus pour les entreprises de certains secteurs a allongé la durée des contrats, sans effet mesurable sur le niveau d’emploi ; ▪️ Une compréhension partielle des règles par les entreprises et allocataires semble avoir limité certains effets attendus : une partie des acteurs interrogés dans les travaux qualitatifs ont une compréhension imparfaite des mesures, voire une méconnaissance des règles de l’assurance chômage. Consultez les détails du rapport sur le site de la Dares ⤵️ https://lnkd.in/e6EBhqf4 Cnam CREDOC INRAE Institut des Politiques Publiques Université Paris Cité

💻 Télétravail : quels risques psychosociaux ?   Depuis la pandémie de Covid-19, le #télétravail s’est durablement installé dans le milieu professionnel. En 2023, 26 % des salariés ont télétravaillé. Le télétravail offre plus d’autonomie, réduit les trajets domicile-travail et peut faciliter l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Cependant, le télétravail peut accentuer certains risques psychosociaux.   📚 La littérature scientifique identifie ces risques psychosociaux dans trois catégories : 👉 La distanciation des relations sociales, qui peut engendrer isolement et perte de lien collectif, 👉 L’intensification du travail avec des journées parfois plus longues et moins de temps de déconnexion, 👉 La difficile articulation des temps de vie, quand la frontière entre sphère personnelle et professionnelle devient floue.   La #Dares publie une étude qui revient sur la complexité de distinguer les effets spécifiques du télétravail de ceux liés au contexte exceptionnel de la crise sanitaire. Elle présente également les inégalités d’exposition selon les situations professionnelles et personnelles.   En savoir plus sur ces enjeux ⬇️ https://lnkd.in/eXgX5vYT

La transition #écologique induit de profonds changements sur le marché du travail. De nouveaux savoir-faire émergent, et les besoins en compétences écologiques s’accroissent dans de nombreux métiers affectés par ces mutations. 👉 Que recherchent les recruteurs en matière de compétences vertes ? 👉 Comment identifier et analyser ces évolutions sur le marché du travail ? La #Dares publie une nouvelle étude basée sur l’analyse des offres d’emploi en ligne. Ce qu'il faut retenir 🔎 : ✅ une demande en hausse de compétences vertes sur le marché du travail, ✅ des offres d’emploi « verts » souvent mieux valorisés en terme de contrat ou de salaire, ✅ mais aussi une forte disparité territoriale Consultez la publication associée ⬇️ https://lnkd.in/emNxEkMb

📣 CDD et #intérim : quel impact sur les conditions de travail et le bien-être des salariés ? En France, le recours aux contrats de courte durée s’est intensifié depuis les années 2000, accentuant la segmentation du marché du travail. Une nouvelle étude de la #Dares, basée sur les enquêtes Conditions de travail 2016 et 2019, compare les situations des salariés en emploi temporaire et permanent. 🔎 Principaux enseignements : 👉 Moins d’autonomie, plus d’imprévisibilité et d’insécurité de l’emploi pour les salariés temporaires ; 👉 Moins de pression temporelle, de conflits éthiques et de demande émotionnelle ; 👉 Une satisfaction professionnelle plus faible, surtout quand l’emploi temporaire est court ou subi ; 👉 Une satisfaction à l’égard de la vie privée moindre pour les intérimaires et comparable pour les salariés en #CDD ; 👉 Un bien-être psychologique à court terme paradoxalement plus élevé ; 👉 Les conditions de travail expliquent davantage les écarts de satisfaction professionnelle. À découvrir ici 📁 : https://lnkd.in/ejPNN6Ar

💼 Égalité professionnelle : où en est-on ? 📊 À la Dares, nous analysons les inégalités entre les femmes et les hommes dans le monde du travail sous toutes leurs dimensions : écarts de salaires, accès à l’emploi, temps de travail, progression de carrière… Ces données sont essentielles pour mieux comprendre les dynamiques des politiques publiques sur ces inégalité. Retrouvez toutes nos études et analyses sur l’égalité professionnelle rassemblées sur le site de la Dares 👇 https://lnkd.in/eqgjQhtW #8mars #ÉgalitéProfessionnelle

💻 Télétravail en France : une pratique bien ancrée dans les entreprises ! Le télétravail est désormais une composante structurelle du monde du travail en France. Si la crise sanitaire a servi d’accélérateur, la stabilisation des pratiques depuis 2022 montre que le modèle hybride est bien installé. En France, au premier semestre 2024, le télétravail concerne plus d’un salarié du secteur privé sur cinq. Avant la crise sanitaire, ils n’étaient que 4 %.   📈 Un modèle hybride dominant dans les entreprises : Les accords d’entreprise ont largement contribué à normaliser la pratique du télétravail, avec une moyenne de deux jours par semaine en distanciel. En 2022, 55 % des accords prévoyaient 2 jours de télétravail maximum par semaine.   💼 Le télétravail, un phénomène sectoriel et socioprofessionnel : 2 cadres sur 3 télétravaillent, contre 1 employé sur 10. Plus une entreprise compte de cadres, plus les autres salariés sont incités à télétravailler Les femmes télétravaillent plus que les hommes (+6,4 points).   🗺 Ce qui favorise le télétravail : Vivre loin de son lieu de travail ou dans un logement spacieux augmente la probabilité de télétravailler.   Retrouvez notre analyse complète et les chiffres clés dans la dernière étude de l’Insee et de la Dares ! ⤵️ https://lnkd.in/e7SW8D42

📊 Pourquoi la loi pour le plein emploi influe sur le nombre d’inscrits à France Travail en janvier 2025 ? Réponse en vidéo avec Datagora ⤵️

📊 Pourquoi la loi pour le plein emploi influe sur le nombre d’inscrits à France Travail en janvier 2025 ? Réponse en vidéo avec Datagora ⤵️

🌍✨ Séminaire Politiques de l'Emploi : "L'adaptation du travail au changement climatique" ✨🌍 Le changement climatique transforme les modes de vie et les environnements de travail. Comment adapter les conditions de travail pour mieux faire face à ces bouleversements ? Quel impact pourrait avoir le changement climatique sur la productivité des travailleurs ? Quels enjeux économiques et juridiques en découlent ? Rendez-vous le mercredi 5 mars 2025 de 9h30 à 12h30 à l'Amphithéâtre Pierre Laroque (Paris) ou en visioconférence pour une matinée d'échanges et d'analyses ! 📅 Date : 5 mars 2025 📍 Lieu : Amphithéâtre Pierre Laroque, 14 avenue Duquesne, 75007 Paris (et en ligne) 💡 Un événement co-organisé avec le Ministère du Travail Sous la présidence de Gilbert Cette (Président du Conseil d'orientation des retraites) et Jean-Emmanuel Ray (Professeur émérite à l'Université Paris I - Sorbonne), ce séminaire réunira des experts pour débattre des conséquences du changement climatique sur le travail, de la réglementation existante et des dispositifs à mettre en place. Avec les interventions de : 🔹 Mireille Chiroleu-Assouline - Professeure d'Économie à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Paris School of Economics 🔹Isabelle Desbarats - Professeure de Droit à l'Université Toulouse-Capitole 🔹Christian Pellet - Président de Sextant Expertise Plus d’informations et inscriptions ➡️ https://lnkd.in/gGBiDsGq Dares - ministère du Travail Floriane Jouy-Gelin Charles Gendre Héloïse Tournoux Marin Guédo Guilloteau