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Association Oppelia

Association Oppelia

Soins de santé mentale

Paris, Île-de-France 4 298 abonnés

Association // Addiction - Santé - Solidarité

À propos

Oppelia est une association loi 1901 qui a pour objet d’apporter une aide aux enfants, adolescents et adultes, ainsi qu’à leur entourage, qui rencontrent des difficultés sur le plan social, médico-social ou sanitaire, liées notamment à l’usage de substances psychotropes ou engagés dans des conduites à risques. Elle a également pour objet la recherche et le développement, la prévention, l’information et la formation d’intervenants, en particulier dans le domaine de l’addictologie. L’association Oppelia est agréée ESUS (Entreprise Solidaire d’Utilité Sociale) pour une durée de 5 ans (jusqu’en avril 2026). Oppelia est composé de 17 structures médico-sociales réparties sur 16 départements > Retrouver l’ensemble des structures sur leurs pages respectives : www.oppelia.fr/etablissements-services/ Une boîte mail dédiée aux usagers et gérée par un usager est disponible : usagersoppelia@gmail.com

Site web
http://www.oppelia.fr/
Secteur
Soins de santé mentale
Taille de l’entreprise
501-1 000 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Non lucratif
Fondée en
2008
Domaines
addiction, santé, précarté, solidarité, accompagnement, médico-social, médico-psychologique, drogue, psychologie, science, soin, réadaptation, alcool, addictologie et association

Lieux

Employés chez Association Oppelia

Nouvelles

  • 👮 #Plaintomètre : Un outil de sensibilisation et d’information édité par FEMMES SOLIDAIRES pour mieux assister la victime dès le dépôt de plainte et pendant le déroulé de l’enquête. 📈 80% des plaintes pour violences faites aux femmes sont classées sans suite. Parmi les victimes de féminicides, 17% d’entre elles avaient porté plainte. 🔎 "Aujourd’hui, le rôle des accompagnant.es est très important de la procédure du dépôt de plainte à la poursuite de l’enquête. Très peu de personnes souhaitant déposer plainte savent qu’elles peuvent être accompagnées tout du long. 🫥 Nombreuses sont les victimes qui n’osent pas franchir le cap du dépôt de plainte. Peur de ne pas être crue, de ne pas être entendue, que la situation se retourne contre elle, stigmatisation, honte … les raisons sont multiples. Même si aujourd’hui la prise de plainte peut s’effectuer “hors les murs”, dans un hôpital par exemple, ce n’est pas toujours le cas. Le #commissariat ou la #gendarmerie restent souvent un passage nécessaire. 🏛️ L’accueil et la prise de la plainte par les forces de l’ordre sont des étapes déterminantes et le point de départ dans la reconnaissance des faits de violences. Si la plainte est « mal prise » et/ou incomprise, il y a de fortes chances qu’elle soit classée sans suite. Le #plaintomètre est un outil d’auto-évaluation pour mesurer si le dépôt de plainte se fait de la bonne manière, dans le respect de la loi." 📝 COMMENT CA MARCHE ? Le plaintomètre est un outil d'auto-évaluation comportant #22 questions à se poser, destiné aux femmes ou aux hommes victimes, pour leur permettre : - de franchir le pas pour déposer une plainte - connaître les différentes phases de l'enquête - mesurer les conditions d’accueil et d'écoute - connaître leurs droits, les actes réalisés par les enquêteurs - être tenu.es informé.es à l'issue de l'enquête." Texte issu du site : https://lnkd.in/eFgECUXm Saffaa Kamal Estelle TORRE Michaël Balandier

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  • 🧪 #AnalyseDeDrogues Dernier épisode (4/4) : "Reportage au cœur du laboratoire" 📰 De lundi à jeudi, nous vous proposons la lecture des 4 articles issus de notre dossier spécial #AnalyseDeDrogues provenant de notre Journal Trimestriel (mars 2025). Aux côtés d'usager, professionnel du médico-social, coordinateurs du réseau, nous y évoquons : les intérêts que peuvent revêtir l'analyse, la place de l'analyse à distance, le cadre légal de ce dispositif, l'évolution des consommations... 🔎 Dans le CAARUD B10 Oppelia Charonne, situé rue Beaurepaire, en plein 10ème arrondissement parisien, se trouve un laboratoire pour le moins singulier. Géré par Oppelia Charonne et ASSOCIATION SIDA-PAROLES, le laboratoire d'Analyse ton prod IDF reçoit des milliers de substances psychoactives à analyser tous les ans. Au charbon pour faire tourner la machine, Sevag Chenorhokian et Maxime Triguel nous font découvrir l’envers du décor ✍ Avec eux, nous avons évoqué : - l'intérêt de la démocratisation de l'analyse de drogues à "Madame et Monsieur Tout le monde" - l'importance du laboratoire pour mener un travail d'alerte auprès des autorités sanitaires - le succès grandissant de ce dispositif (+ de 4.500 produits analysés en 2024) - la nécessité de réaliser une évaluation d’impact pour s’assurer des bienfaits de la démarche ... 🤓 Bonne lecture ! #Drugchecking

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    🧪 #AnalyseDeDrogues Épisode 3 : "Quels sont les avantages de l'analyse pour les usagers ?" Interview croisée de : - Medhi, usager d'Oppelia #Tempo & - Jeremy Visticot infirmier à Oppelia Tempo 📰 De lundi à jeudi, nous vous proposons la lecture des 4 articles issus de notre dossier spécial #AnalyseDeDrogues provenant de notre Journal Trimestriel (mars 2025). Aux côtés d'usager, professionnel du médico-social, coordinateurs du réseau, nous y évoquons : les intérêts que peuvent revêtir l'analyse, la place de l'analyse à distance, le cadre légal de ce dispositif, l'évolution des consommations... 🔎 Grâce à un partenariat avec Analyse ton prod IDF, Oppelia Tempo propose à Valence (26) une analyse de substances permettant aux usagers.ères de connaître les risques sanitaires encourus. 👏 Avec Medhi et Jérémy, nous comprenons que l’analyse de substances ne s’arrête pas à la simple délivrance des résultats d’une composition de produits. En effet, elle s’inscrit durablement dans un processus de réduction des risques #RdR mais aussi d’accompagnement en addictologie. 🤓 Bonne lecture ! #Drugchecking Julien Chambon

  • 🧪 #AnalyseDeDrogues Épisode 2 : "L'analyse de drogues à distance, c'est possible !" 📰 De lundi à jeudi, nous vous proposons la lecture des 4 articles issus de notre dossier spécial #AnalyseDeDrogues provenant de notre Journal Trimestriel (mars 2025). Aux côtés d'usager, professionnel du médico-social, coordinateurs du réseau, nous y évoquons : les intérêts que peuvent revêtir l'analyse, la place de l'analyse à distance, le cadre légal de ce dispositif, l'évolution des consommations... 🔎 En France, pour faire analyser une drogue, plusieurs solutions existent. Se rendre dans une association membre du réseau #AnalyseTonProd (voir article précédent) mais aussi, pour celles et ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas se rendre personnellement dans ces structures, il existe désormais la possibilité de réaliser l’analyse à distance. C’est sur le forum en ligne Psychoactif que ça se passe et son fondateur Pierre Chappard nous en dit plus à ce sujet. 2️⃣ ème épisode avec Pierre Chappard, fondateur du forum Psychoactif "L'analyse de drogues à distance, c'est possible !" 🤓 Bonne lecture ! #Drugchecking

  • 🌍 Le 31 mars, c'est la journée mondiale pour l'#AnalyseDeDrogues. Et ça tombe bien parce qu'à Oppelia, nous venons tout juste de sortir un dossier consacré à cette thématique pour notre Journal Trimestriel (mars 2025)😉 📰 Alors de lundi à jeudi, nous vous proposons la lecture de nos 4 articles issus de ce dossier spécial. Aux côtés d'usager, professionnel du médico-social, coordinateurs du réseau, nous y évoquons : les intérêts que peuvent revêtir l'analyse, la place de l'analyse à distance, le cadre légal de ce dispositif, l'évolution des consommations... 1️⃣er épisode avec Sacha Hertzog, chargé de projets à la Fédération Addiction et qui est animateur du réseau national #AnalyseTonProd : 1/4 "Comment se structure l'analyse de drogues en France ?" 🤓 Bonne lecture ! #Drugchecking

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    🇱🇺🇧🇪🇫🇷🇨🇭 🇨🇦Rencontre Francophone des #SCMR (Salles de Consommation à Moindre Risque) 🤝Alors que la RdR affronte un contexte politique difficile, nous avons eu l'immense plaisir d'échanger durant 2 jours avec nos homologues francophones au sujet des #SCMR (Dispositif s'appelant #HSA en France : Halte Soins Addictions) 👌Ces dispositifs qui cristalisent controverses et tensions avec les riverains - mais aussi dans l'espace public - ont pourtant prouvé à maintes reprises leur efficacité tant à travers un aspect sanitaire qu'à travers celui de la tranquilité publique. Alors qu'en France seules 2️⃣ salles existent (Strasbourg et Paris) et que leur statut expérimental prendra fin en décembre 2025, nous constatons que nos voisins francophones s'inscrivent dans une toute autre dynamique : 🇱🇺 Au Luxembourg, il existe également 2 salles, mais pour un pays de 650.000 habitants 🇧🇪 En Belgique, une seconde salle ouvrira bientôt dans la ville Bruxelles 🇨🇭 En Suisse, ce sont pas moins de 18 SCMR qui ont essaimé depuis 1986. 🤓À rebourd du climat ambiant donc, nous sommes heureux d'avoir échangé avec nos homologues de l'avenir des SCMR en lien avec de nombreuses problématiques : - Santé mentale et salles de consos - Gestion institutionnelle de ces dispositifs - Épuisement des équipes #RH - Plaidoyer pour l'essaimage de nouvelles SCMR - Évolution des consommations des publics fréquentant les salles - Médiation avec le parquet, les riverains, la police, les commerçants... 🇱🇺 Selon le Minsistère de la Santé luxembourgeois : "Au Luxembourg, les SCMR c'est un acquis. La population est convaincue de la plus-value sociale et societale de ces dispositifs" 🤔De notre côté, face à l'inertie politique nationale, ne serait-il pas temps de déployer des dispositifs plus souples, pour permettre la consommation des usagers.ères tout en s'inscrivant dans une optique de #RdR respectant les préceptes de la Loi de Santé Publique de 2016 ? 👋Un grand merci à tous nos homologues francophones et particulièrement à la ville d'Esch-sur-Alzette ! ✊️ Ne pas agir n'est pas une option !

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    🎙️ INTERVENTION RADIO Ce matin, Naïra Meliava, directrice générale d'Oppelia, était l'invitée de "Bienvenue chez vous, les experts" sur ici Paris Ile-de-France (ex France Bleu Paris) au sujet du #narcotrafic. Émission animée par Corentine Feltz 🤔 Aux côtés de Sylvie, ancienne usagère de substances psychoactives, les échanges ont permis de se poser la question de l'efficacité mais aussi de l'utilité de la répression et de la stigmatisation des usagers.ères dans la lutte face au narcotrafic, lutte illustrée par la dernière campagne choc du Ministère de l'Intérieur : « Chaque jour des personnes payent le prix de la drogue que vous achetez. » 📈 Face au constat d'une forte progression des consommations, et notamment de la #cocaïne et des Nouveaux Produits de Synthèse #NPS, se pose la question de la place de ses consommations dans notre société addictogène, qui appelle à de plus en plus de performances, d’immédiateté, d'hyperconnexion. A ce sujet, selon l'#OFDT, plus d'1 million de français a consommé de la cocaïne en 2024. ⛔ Or, ce qui est mis en œuvre depuis l'instauration de la fameuse loi de 1970 ne fonctionne pas, l'énergie que les agents de l’État mettent en œuvre pour réduire trafics et consommations est improductive. Les points de deal, une fois démantelés, réapparaissent au même endroit, les consommations augmentent toujours. 🤝 Il est nécessaire de structurer un maillage global en matière de politiques des drogues en dépassant le clivage "#Sécurité versus politiques de #Prévention et de soins." La prévention n'est pas efficace en activant la peur mais plutôt en interrogeant les représentations et les expériences, en développant les Compétences Psychosociales (#CPS) que sont la confiance en soi ou encore l'esprit critique. 🗣️ Pour Sylvie aussi, les campagnes de stigmatisation ne sont pas en phase avec la réalité des personnes usagères de drogues. Elle évoque en revanche la sensibilité, la solidarité et l'intelligence des personnes qu'elle a pu rencontrer dans les groupes de paroles et qui permettent le développement du #SavoirExpérientiel. 🏥 Par ailleurs, la drogue ne se résume pas à licite ou illicite. N'oublions pas que les dommages sanitaires, sociaux et économiques les plus conséquents pour nos concitoyens et pour l’État ce sont le tabac et l'alcool. La régulation, qu'elle passe par la #dépénalisation des usages, ou par la #légalisation de certaines substances telles que le cannabis comme l'on fait nos voisins allemands ou les québecois, peut permettre de dépenser davantage d'argent public pour la prévention, d'ouvrir la porte à la #destigmatisation ou encore de mieux orienter vers le #soin lorsque cela s'avère nécessaire. Retrouvez l'intégralité de l'émission ici ➡️ https://lnkd.in/eDPTEqB3

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    🏦 RENCONTRE AU SÉNAT Mardi 4 mars, nous avons eu le plaisir d'être reçus au Sénat où, Naïra Meliava, directrice générale d'Oppelia, a pu s'entretenir avec la sénatrice de Paris Anne Souyris. 2️⃣ grands enjeux ont émergé de ces échanges : 👩⚕️ L'IMPORTANCE CAPITALE DU MAINTIEN DES CENTRES DE SANTÉ CONVENTIONNÉS #Secteur1 EN RÉGION PARISIENNE Dans un contexte de raréfaction du nombre de médecins, face à une augmentation de la file active (et d'une file active de publics de plus en plus précaires), les centres de santé occupent une place stratégique dans l'offre de soins. Ils permettent de recevoir tous les publics, d'assurer des soins de première nécessité, d'orienter vers des spécialistes au sein du même établissement, de réaliser des échographies, mammographies.... En cas de suppression de ces Centres de Santé, faute de revenus pour se tourner vers l'offre de soins privée, une grande partie de ces publics n'aurait d'autre choix que de venir emboliser des urgences d'hôpitaux déjà surchargées. Pourtant, malgré leur caractère indispensable, beaucoup de ces centres franciliens ont fermé leurs portes ces derniers mois (Haxo et Olympiades entre autres). Aux côtés d'Anne Souyris, nous portons donc un plaidoyer pour le maintien de ces centres de santé. Oppelia s'est d'ailleurs engagée dans la reprise du Centre de Santé Centre de santé Oppelia - Richerand dans le 10ème arrondissement parisien en début d'année. ⛔ LA #DÉPÉNALISATION DES USAGES DE DROGUES En lien avec le projet de loi déposé au Sénat par Anne Souyris le 27 janvier dernier, nous sommes revenus sur l'intérêt d'un tel projet et sommes ravis de constater que nous pouvons bénéficier de l'écoute et de la compréhension de Madame la Sénatrice à ce sujet. Grâce à une meilleure redistribution des moyens publics, la dépénalisation permettra un jour : - un meilleur accès aux soins pour les usagers.ères de drogues - un désengorgement des tribunaux et prisons - une lutte plus efficace contre le narcotrafic - une destigmatisation des usagers.ères - une meilleure (ré)insertion sociale des usagers.ères et publics en lien avec le trafic ... 📽️ Nous vous proposerons bientôt sur notre chaîne YouTube la retranscription de cette rencontre. Josselin Aubrée Marine GRILLET

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    🎙️PODCAST "#Drogues, une histoire sous influence" 🔶 Grâce à France Culture et son émission Le Cours de l'Histoire, découvrez 4 excellents épisodes signés Xavier Mauduit et ses équipes : "#Drogues, une histoire sous influence" 🔶 On y parle de l'usage des drogues à l'Antiquité, de leur appropriation par différents courants artistiques, de l'évolution de la morale, du développement de son commerce mais aussi de la guerre à la drogue et des dernières avancées de la Recherche à ce sujet. C'est un incroyable voyage dans le temps que nous propose Le Cours de l'Histoire pour mieux comprendre comment "l'objet drogue" a façonné (et façonne toujours) nos sociétés. 🔷 Vous pouvez retrouver les 4 épisodes de ce podcast via le lien ci-dessous : ➡️ https://lnkd.in/eYu7685W 📰 LISTE DES ÉPISODES 1/4 "Hallucinante Antiquité : Quand la Pythie vient en planant" 2/4 "Guerres de l'Opium : pavot, pas pris" 3/4 "Des Haschischins aux surréalistes, les artistes sous emprise" 4/4 "La guerre à la drogue, du médicament au poison" 🙏 Merci au service public audiovisuel de proposer des sujets d'une aussi grande ambition scientifique ! © Getty

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    🔴 Oppelia se joint à la Société Française de Santé Publique (SFSP) La santé mentale érigée Grande Cause Nationale par le gouvernement pour l'année 2025 ? Vraiment ? Ce n'est pourtant pas ce qui ressort du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PFLSS) 2025 qui vient plutôt fragiliser les acteurs de la prévention de proximité puisqu'il comprend notamment : 📉 Une baisse de 100 Millions d'€ du Fonds d'Intervention Régional (FIR) 📉 La réduction des crédits de la Politique de la ville 📉 Un retrait massif des collectivités locales de leur engagement en santé publique A l'instar de la #SPF, Oppelia appelle le gouvernement à : 🤚 Sanctuariser les crédits du #FIR et renforcer les moyens dédiés à la santé publique de proximité, afin de préserver un réseau essentiel de prévention et d’accompagnement. 👐 Valoriser les programmes de prévention fondés sur des preuves scientifiques dans les arbitrages budgétaires, en reconnaissant leur impact économique positif. 🤝 Associer les acteurs de terrain et les sociétés savantes à la définition des politiques de prévention, pour éviter les logiques simplistes opposant efficacité budgétaire et santé publique.

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